Vues du château

Ça faisait déjà deux ans que j’étais propriétaire de la maison sans m’être aperçu que, grâce au puissant zoom de mon «quand-même-simple» Lumix FZ20, je pouvais voir plus que ce que je croyais… J’étais presque dans la rue et je contemplais la vue sur Québec-Haute-Ville par ce beau temps assez exceptionnel sur le plan de la clarté, quand l’idée me vint de prendre une photo (en fait, plusieurs – après tout, le numérique, c’est fait pour ça ;-))

Voici le résultat : aucune retouche, sinon un léger recadrage…

1re photo : zoom optique au maximum, soit 12 X.

2e photo : zoom numérique au maximum (48X), juste pour voir, car la qualité chute assez rapidement avec cette fonction, comme sur tout appareil numérique, bien sûr (ou presque !)


Alors malgré les quelque 15-16 km qui nous séparent à vol d’oiseau, j’ai pu admirer le château Frontenac de chez moi : c’est quand même fascinant ! Sur la dernière photo, on peut aussi voir un genre de distorsion produit en partie par le zoom numérique, mais aussi par l’air ambiant jamais complètement clair et net, surtout quand le sujet est à cette distance…

Depuis le temps de mon achat du FZ20, les appareils photo numériques n’ont cessé de se perfectionner. Lumix (que j’ai acheté «par défaut», car les bonis-dollars de ma carte de crédit n’étaient vraiment convertibles dans un rapport 1:1 qu’avec des certificats cadeaux Tanguay qui, comme on le sait, ne vend ni du Canon ni du Nikon, mes 2 premiers choix…) Lumix, donc, est depuis rendu 3 générations d’appareil plus loin, dans la série FZ à deux chiffres : FZ10, FZ20, FZ30, PZ50, etc. À ne pas confondre avec la série FZ à un chiffre dont la qualité finale est un peu moindre… et le prix aussi !

Un très bon site pour suivre l’évolution des appareils et se renseigner sur le résultat de divers tests : Megapixel.net. J’aime bien !

Tout un service !

Ça y est ! En revenant du boulot, une belle surprise m’attendait !

La saga a commencé il y a quelques mois, alors que j’apprenais que ma “coquille” Chlorophylle en GORE-TEX était délaminée (Les couches superposées de la membrane avaient décollé, en quelque sorte, entre elles, créant des micro-plis dans le tissus de surface et amoindrissant la qualité du produit en diminuant ses propriétés). J’avais acheté ce manteau il y a environ 7 ans, presque à moitié prix, la couleur étant “démodée” (i.e. qu’elle appartenait à une série qui n’était plus produite, d’où la nécessité, pour le commerce, de s’en débarrasser…)

Cependant, la compagnie Chlorophylle (qui a perdu un peu de son lustre au fil des transactions et des changements dans l’entreprise depuis les 10 dernières années), en dépit d’une garantie à vie, ne pouvait plus échanger le produit, car un délai de 5 ans sorti je ne sais d’où était manifestement dépassé.

On m’a alors dit de m’adresser à la compagnie Gore directement.
La préposée, qui s’exprimait dans un excellent français (avec un léger accent, quand même), fut très collaboratrice. Elle m’a demandé d’expédier la coquille défectueuse pour examen, et m’A laissé entendre qu’elle serait vraisemblablement remplacée gratuitement, si l’examen confirmait ma version des faits, ce qui fut le cas. Après examen de la coquille Chlorophylle défectueuse, donc, la gentille préposée, Naomi, a téléphoné pour me dire d’aller magasiner et, surtout, essayer des coquilles différentes, de toutes marques, pourvu que la membrane soit fabriquée par Gore.

Quelques semaines plus tard (J’ai pris mon temps et les disponibilités à Québec sont parfois assez limitées pour ce genre de produit quand on n’est pas nécessairement en pleine saison, même si le produit peut facilement servir 12 mois par année !), je rappelle Naomi pour lui donner les modèles choisis par ordre de préférence. C’était il y a environ une semaine.

Aujourd’hui, le colis est arrivé à la maison et ma blonde m’avait soigneusement placé le nouveau manteau, bien en évidence près de la porte d’entrée !

Je suis très content de ce service que j’ai eu, et mon portefeuille est très content de l’investissement fait il y a 7 ans, investissement qui se voit rentabilisé au-delà de toute espérance, “grâce” à une défectuosité !

Magasinage un peu spécial…

L’été passé, notre piscine hors terre, faussement appelée “gonflable” (une Tempo, comme les abris, âgée de x années – x = déjà là avec la maison), nous a abandonnés.

Quelque part en août, on a commencé à magasiner, mais, finalement, on n’a rien fait, rien acheté, trop découragés par la série d’imbécillités que l’on s’est fait dire. Chacun a LE produit idéal et tous les autres ne vendent que de la m… C’est presque une citation textuelle ! Décourageant. Et quand on ose poser des questions que je qualifie humblement d’intelligentes, on se fait carrément répondre “Je ne sais pas, mais à quoi bon ? C’est pas important !” ou bien on nous dit un paquet de conneries, toutes plus fausses les unes que les autres. Désolant ! Le pire du pire : un “vendeux” chez Club Piscine qui sautait à pied joint sur un montant placé par terre pour nous prouver que SA résine était LA meilleure et que les autres ne valaient absolument rien… De plus en plus grotesque !

Alors hier, on décide de reprendre là où on a laissé, dépités, l’été passé. Un premier endroit où c’était pas pire. La madame n’était pas toujours au courant de certains détails, mais elle n’était pas la championne de la connerie, loin de là. Un deuxième endroit où je tombe sur un vendeur d’expérience (dixit lui-même : et ça paraissait, surtout sur l’ordi ;-)… On le voit dans les pubs ces temps-ci avec le reste de l’équipe du commerce en question. Il sait mettre en valeur son produit, mais sans tomber dans les excès burlesques… Mais le prix, alors : quelques centaines de dollars plus cher que le premier commerce visité. Pas attirant pour le portefeuille.

Finalement, on arrive à un troisième magasin. Qualité du produit semble meilleure. Vendeur très neutre, ne semble pas souffrir du complexe de supériorité qui affecte certains commerces de piscines. Arrive le prix qui sera sans doute le plus élevé des trois : eh bien non ! Prix se situant entre les deux précédents, grâce à une promotion assez béton. Parfait ! On achète ! Pas besoin d’aller chez Club Piscine et de risquer de tomber sur l’énergumène de l’été passé 😉

On a peut-être acheté vite, mais faut dire que l’expérience de l’été passé aidait à poser les bonnes questions plus rapidement… Reste à attendre l’installation, quelque part vers la fin mai. D’ici quelques semaines, j’aurai hâte un peu !

25 000 000 $


C’est la somme offerte par le milliardaire sir Richard Branson, président du groupe Virgin, à quiconque trouvera le moyen d’éliminer les gaz à effet de serre !

Il existe pourtant un moyen simple, trop simple… en théorie : éliminer toute l’industrie pétrolière ! Ça règle une grosse partie du problème !
M A I S, car il y a un énorme mais, c’est pratiquement impossible, puisque nous avons besoin d’encore beaucoup de temps pour développer d’autres sources d’énergie et parce que les pétrolières, de par leurs puissants lobbys, sont encore capables de continuer à freiner toute initiative visant à réduire leur industrie… (Insérer ici une tonne d’autres “MAIS”…)

Alors que reste-t-il comme solution ?

Peut-être favoriser uniquement les contacts virtuels, via webcams et autres technologies semblables pour éliminer les déplacements “inutiles” qui bouffent des hydrocarbures à la tonne, ce qui est en fait bien peu pour l’environnement, car, même si on achète en ligne, il aura quand même fallu les transporter, ces webcams…

Ou encore, augmenter le télétravail au maximum… Là encore, c’est limité, même si de grands développements sont possible sur ce plan.

Ou encore… … …

Bref, une seule et unique solution apparaît impossible devant un phénomène aussi complexe. Une chose est sûre, par contre, il faut changer les mentalités dans notre société de consommation, et ça, c’est pas demain la veille que ça va arriver, d’après moi…

Propriété intellectuelle

En lisant ce long message de Steve Jobs, je me mets à réfléchir sur ce sujet où plusieurs des bases d’antan sur la gestion des droits d’auteurs sont remises en question depuis quelque temps…

Steve Jobs prêche pour sa paroisse en voulant arrêter de s’embarasser des DRM (Digital Rights Managements ou Gestion numérique des droits). C’est toute une gestion pour 3% des fichiers de musique en place sur les différents iPod de la planète… Il souligne, à juste titre, que les 4 grandes compagnies de disques continuent de vendre leurs CD libres de tout DRM… Selon moi, ces grandes compagnies continuent ainsi de favoriser leur marché “à l’ancienne” (CD). — Quoique pour un maniaque de qualité auditive, les MP3 seront toujours des fichiers de seconde classe : et ça s’entend, moyennant un excellent système de son ou d’excellents écouteurs. Mais les MP3 en voiture ou en faisant une autre activité, c’est parfait !

Alors la question demeure entière : comment faire reconnaître la propriété intellectuelle sur ses oeuvres quand on est auteur ou compositeur ? Peut-on gérer cela à la pièce, pour chaque fichier MP3, ou pour chaque album complet, etc. ? Comment arriver à vivre de son art alors, si on ne peut comptabiliser le tout, ni faire payer chaque utilisateur ? Est-ce que l’auteur ou le compositeur ne serait pas mieux d’arriver à être d’abord connu et reconnu, puis à encaisser quelques petits profits par la suite ?

Est-ce que chacun de ces artistes ne serait pas plutôt mieux, surtout s’il commence dans le métier, de se mettre en marché lui-même via le web, sans passer par une méga-machine ou compagnie, de disque ou de distribution sur le web, qui lui bouffera une grande partie de ses profits sans même pouvoir contrôler la vraie distribution, celle qui s’effectue loin des grands sites, par l’échange de fichiers entre individus ? (On se prêtait bien des cassettes plus jeunes, alors la situation demeure fondamentalement la même aujourd’hui, mais les moyens ont simplement changé ou évolué… – c’est bien abstrait, ça, la propriété intellectuelle !)

Bref, beaucoup plus de questions que de réponses ce soir. Et surtout, n’attendez pas qu’une loi fédérale ne régisse le tout : “ils” sont encore en 1950 à ce chapitre ;-/