R.I.P. Simoniz

Voilà ! C’est fini entre les laveuses à pression électriques Simoniz et moi.

J’en ai eu une qui a duré environ 2 ans et 1 mois, soit 1 mois de plus que la garantie… J’aurais peut-être pu utiliser l’article de la loi de la Protection du consommateur qui dit qu’un bien doit avoir une durée de vie raisonnable, mais manquant cruellement de temps, je n’ai pas procédé…

Ce printemps, j’achète une nouvelle laveuse à pression électrique, encore de marque Simoniz, encore à 50% de rabais chez Canadian Tire. Cette fois, à la 3e utilisation, le moteur de la pompe a commencé à avoir un comportement erratique, alors que tout baignait les 2 premières fois où j’ai utilisé l’appareil. Devant ce comportement étrange de la machine, je me suis empressé de me renseigner chez Canadian Tire pour savoir si je pouvais encore faire affaire avec eux directement ou s’il faudrait me taper les procédures de retour directement avec la compagnie, ce qui me tentait pas mal moins. On m’a alors informé que je pouvais retourner l’appareil défectueux directement chez le Pneu Canadien, si ça faisait moins de 90 jours que je l’avais acheté. On est le 13 août et la laveuse a été achetée le 20 mai : OUF !

Alors voilà ! On ne m’y reprendra plus. J’ai donné la chance au coureur, mais les moteurs de pompes trop fragiles de ces machines font en sorte que le taux de retour est semble-t-il assez astronomique.

Canadian Tire devrait cesser de vendre ces pourritures. Sa réputation en serait probablement améliorée.

Réchauffement – l'autre côté de la médaille

Voilà un autre sujet qui m’a vivement intéressé aujourd’hui : un sujet qui pourrait échauffer les esprits, c’est le cas de le dire !

Le climat se réchauffe, mais peut-être pas (ou pas uniquement) pour les raisons maintenant classiques que l’on connait tous, c’est-à-dire l’augmentation de la production humaine de CO2. En effet, le CO2 ne serait peut-être pas le principal facteur du réchauffement climatique, selon certains scientifiques qui font bande à part ces temps-ci et qui paraissent un peu (beaucoup) à contre-courant.

Ainsi, le réchauffement serait en majeure partie naturel et on s’en ferait EN PARTIE pour rien. Je dis bien EN PARTIE, car je crois quand même sincèrement que, nonobstant l’augmentation de la production humaine de CO2, la pollution, elle, contribue véritablement à l’augmentation de certaines maladies et que l’humain, même s’il n’était pas la cause principale du réchauffement planétaire, a quand même un rôle à jouer. Il demeure indéniable que l’on surconsomme et que nous ne devons pas nous en déresponsabiliser (Tiens donc, ce thème qui revient encore ici 😉

De plus, tous savent plus ou moins que des études en climatologie, ça doit être échelonn sur des périodes de temps très très longues (lire siècles, ici), et que nous ne disposons pas d’assez de données pour ce faire avec grande précision… Alors on ne peut qu’extrapoler avec des modèles mathématiques, ce qui peut parfois introduire une marge d’erreur significative. On découvre donc dans cet article que même les sciences dites exactes comportent leur lot d’incertitudes ou d’inexactitudes : j’aime bien ces paradoxes !

MÀJ : 07-06-07 : 8h10 :
À la suite d’une lecture vraiment très intéressante chez Jean-Sébastien Bouchard, je me vois confirmer l’affirmation faite hier sur la responsabilité indéniable de l’être humain pour une partie (plus ou moins grande selon les écoles de pensées) des problèmes climatiques actuels. Il ne faut pas que l’affrontement des écoles de pensées devienne un prétexte à l’inaction ou au laisser-aller !

Donnez et… on vous refusera ?!!

Une de mes collègues de travail vend sa maison et, comme on fait d’habitude dans ces circonstances, elle donne certains meubles usagés.

Elle a fait affaire avec le comptoir Emmaüs. Un peu comme la fois où j’ai donné des objets à l’Armée du Salut, ma collègue a eu un peu de misère à fixer une plage horaire pour le ramassage, mais elle a fini par pouvoir régler quelque chose assez rapidement sur ce plan.

Le problème majeur qu’elle a vécu est celui-ci : les gens du camion ont carrément refusé les meubles, soit une causeuse 3 places encore en bon état, deux bases de lit impeccables en mélamine blanche et des skis non parabolliques. Les raisons ? : la causeuse, on n’a pas de place, car ce n’est pas ça qui était prévu sur notre liste (2 commodes finalement jugées en trop mauvais état par la propriétaire (ma collègue) au lieu d’une causeuse, me semble que ça prend pas mal la même place ?) ; les bases de lit, la mélamine n’est plus à la mode (QUOI???) ; les skis, on en a à la tonne, alors… et en plus, ‘sont pas paraboliques ! (re-QUOI ???)

Non, mais, c’est quoi, ces manières ! Je suis sûr que plusieurs personnes auraient apprécié ces meubles et autres objets, moi.
Vite, Mlle Isabelle, envoie-nous un camion, qu’on puisse donner ces objets à ton organisme ! Si l’essence n’était pas si chère ces temps-ci, on pourrait tenter l’expérience !

Entretemps, on est en train de réaiguiller ma collègue vers d’autres organismes, juste pour voir. Elle caresse aussi sérieusement le projet de téléphoner directement à Emmaüs, pour vérifier si c’est une politique ou, plus simplement, une saute d’humeur du camionneur !

Inventaires variables…

… d’une succursale à l’autre !

C’est ce que je constate depuis au moins 2-3 ans. (Avant ça, je ne m’y intéressait pas vraiment !)

Ça fait au moins 4 ou 5 fois que je constate la même chose entre deux succursales du Pneu Canadien (Canadian Tire, pour les imtimes).

  • On annonce dans la circulaire un produit dit vedette, à un prix alléchant. Coïncidence : j’en ai besoin et j’attendais une bonne vente pour me procurer ledit produit. Alors GO, allons magasiner !
  • Canadian Tire, succursale Les Saules : tablettes toujours vides ou presque. Il ne reste plus du produit quelques heures seulement après le début de la vente.
  • Canadian Tire, succursale de L’Ancienne-Lorette : tablettes assez bien remplies, il reste quelques exemplaires du produit convoité, parfois beaucoup plus !

Deux hypothèses : ou bien le Canadian Tire des Saules vend en quantité phénoménale ou bien il ne s’approvisionne pas assez… Même genre d’hypothèse pour L’Ancienne-Lorette : le magasin ne vend pas beaucoup ou bien il s’approvisionne suffisamment.

Je ne connais pas la réponse, mais je ne perdrai plus mon temps à aller me heurter à des tablettes vides aux Saules, voilà !