Tout un service !

Ça y est ! En revenant du boulot, une belle surprise m’attendait !

La saga a commencé il y a quelques mois, alors que j’apprenais que ma “coquille” Chlorophylle en GORE-TEX était délaminée (Les couches superposées de la membrane avaient décollé, en quelque sorte, entre elles, créant des micro-plis dans le tissus de surface et amoindrissant la qualité du produit en diminuant ses propriétés). J’avais acheté ce manteau il y a environ 7 ans, presque à moitié prix, la couleur étant “démodée” (i.e. qu’elle appartenait à une série qui n’était plus produite, d’où la nécessité, pour le commerce, de s’en débarrasser…)

Cependant, la compagnie Chlorophylle (qui a perdu un peu de son lustre au fil des transactions et des changements dans l’entreprise depuis les 10 dernières années), en dépit d’une garantie à vie, ne pouvait plus échanger le produit, car un délai de 5 ans sorti je ne sais d’où était manifestement dépassé.

On m’a alors dit de m’adresser à la compagnie Gore directement.
La préposée, qui s’exprimait dans un excellent français (avec un léger accent, quand même), fut très collaboratrice. Elle m’a demandé d’expédier la coquille défectueuse pour examen, et m’A laissé entendre qu’elle serait vraisemblablement remplacée gratuitement, si l’examen confirmait ma version des faits, ce qui fut le cas. Après examen de la coquille Chlorophylle défectueuse, donc, la gentille préposée, Naomi, a téléphoné pour me dire d’aller magasiner et, surtout, essayer des coquilles différentes, de toutes marques, pourvu que la membrane soit fabriquée par Gore.

Quelques semaines plus tard (J’ai pris mon temps et les disponibilités à Québec sont parfois assez limitées pour ce genre de produit quand on n’est pas nécessairement en pleine saison, même si le produit peut facilement servir 12 mois par année !), je rappelle Naomi pour lui donner les modèles choisis par ordre de préférence. C’était il y a environ une semaine.

Aujourd’hui, le colis est arrivé à la maison et ma blonde m’avait soigneusement placé le nouveau manteau, bien en évidence près de la porte d’entrée !

Je suis très content de ce service que j’ai eu, et mon portefeuille est très content de l’investissement fait il y a 7 ans, investissement qui se voit rentabilisé au-delà de toute espérance, “grâce” à une défectuosité !

Le mystère des yeux…

À mon retour hier, j’avais un message, et surtout cette photo, de l’ami Stéphan qui m’attendait.

Ne reculant devant rien, Stéphan m’offre une preuve que ma théorie sur les yeux jaunes chez le chien n’est pas constante comme celle des yeux rouges chez les humains. On dirait dans l’exemple ci-dessus que le jaune ne semble pas être une couleur constante. En effet, notre chien précédent avait un reflet jaune très évident. Celui-ci a un reflet bleu clair très concentré au centre et, comme le dit Stéphan, il ne porte pas de lentilles, colorées ou non !

Je cherche donc encore. Si vous voulez garnir mon échantillonage, envoyez-moi vos photos de chien prises avec un reflet de flash dans les yeux et nous comparerons !

L'Affaire Neufchatel – précisions suspendues…

Plusieurs d’entre nous ont lu aujourd’hui, à la Une du jounal Le Soleil, de Québec, ce que j’appelle l’Affaire Neufchatel ou l’Affaire PEI de Neufchatel.

Comme enseignant (au PEI en plus), j’ai lu rapidement et avec intérêt l’article en question. J’ai compris sur le coup que des élèves, dans un écoeurement général ou généralisé, étaient allés trop loin dans leurs commentaires. La liberté d’expression possède, comme toute liberté, ses limites. On peut dénoncer quelque chose, mais on doit le faire avec un minimum d’exigences et de compétence(s)…

En scrutant un peu plus l’article (ou les articles, voir ici et ici également) et en tentant de comprendre la situation, je suis parfois tombé sur un agencement de phrases plus ou moins complexe ou, disons plus précisément, déroutant, tant par un certain manque de rigueur que par la disposition des paragraphes. Ainsi, on aligne deux répliques, une d’un collègue de travail, l’autre d’un élève de Neufchatel, presque comme s’il s’agissait de la même personne qui parle, ou comme s’il s’agissait de deux personnes de la même école, ce qui n’est pas du tout le cas. Faut presque relire deux ou trois fois pour être sûr. Allô la confusion !

Comme le souligne CFD, il y aussi des erreurs de terminologie qui prêtent à de mauvaises interprétations, surtout pour les néophytes des technologies…

Finalement, à l’instar de CFD, j’ai trouvé pas mal d’information chez mon collègue qui a activement participé à une discussion qui dure (sporadiquement) depuis plus d’un an maintenant à ce sujet. Beaucoup plus instructif que la gibelotte, concoctée probablement très rapidement, pour aller sous presse vite vite vite (Ça presse !), du Soleil d’aujourd’hui.

MP3 vs lecteur…


Il y a une chose qui m’énerve royalement depuis un temps, c’est l’emploi du “mot” MP3 en lieu et place de “lecteur MP3” ! Le MP3 est un type de fichier numérique, utilisé pour transporter de la musique compressée (ratio avoisinant le 10:1). Le lecteur MP3 est un appareil qui peut lire ces fichiers, et parfois d’autres types de fichiers, comme dans le cas du iPod, par exemple !

Alors dans ce contexte, un Mp3 désigne, par raccourci, un fichier de type MP3. Et un lecteur MP3 désigne l’appareil… C’est pourtant pas sorcier du tout, non ?

Je remarque souvent que ce sont des personnes connaissant moins ce type de données et ce type d’appareils qui emploient ce “mot” MP3 de la sorte. Mais mon échantillonage est trop faible pour arriver à une conclusion décente ici.

Si on veut raccourcir ou simplifier l’appellation “lecteur MP3”, on pourrait, à l’instar de Frigidaire pour désigner un réfrigérateur, ou encore Kleenex pour désigner un mouchoir en papier, utiliser une marque populaire de lecteurs MP3 pour les désigner tous. Ainsi on aurait des iPod, les véritables, de marque iPod, fabriqués par Apple, et les autres, faussement appelés iPod, même si ce sont des lecteurs MP3 d’autres marques (souvent imitatrices, mais jamais égalées 😉

Par contre, je sais aussi que le “mot” DVD s’est imposé, lui, toujours à l’usage, autant pour désigner l’appareil lisant les disques de ce type que le disque lui-même. Mais j’ai moins entendu le “mot” CD pour désigner un simple lecteur de CD, ou un graveur…

Amusant la langue française d’usage et l’informatique et la technologie !

Magasinage un peu spécial…

L’été passé, notre piscine hors terre, faussement appelée “gonflable” (une Tempo, comme les abris, âgée de x années – x = déjà là avec la maison), nous a abandonnés.

Quelque part en août, on a commencé à magasiner, mais, finalement, on n’a rien fait, rien acheté, trop découragés par la série d’imbécillités que l’on s’est fait dire. Chacun a LE produit idéal et tous les autres ne vendent que de la m… C’est presque une citation textuelle ! Décourageant. Et quand on ose poser des questions que je qualifie humblement d’intelligentes, on se fait carrément répondre “Je ne sais pas, mais à quoi bon ? C’est pas important !” ou bien on nous dit un paquet de conneries, toutes plus fausses les unes que les autres. Désolant ! Le pire du pire : un “vendeux” chez Club Piscine qui sautait à pied joint sur un montant placé par terre pour nous prouver que SA résine était LA meilleure et que les autres ne valaient absolument rien… De plus en plus grotesque !

Alors hier, on décide de reprendre là où on a laissé, dépités, l’été passé. Un premier endroit où c’était pas pire. La madame n’était pas toujours au courant de certains détails, mais elle n’était pas la championne de la connerie, loin de là. Un deuxième endroit où je tombe sur un vendeur d’expérience (dixit lui-même : et ça paraissait, surtout sur l’ordi ;-)… On le voit dans les pubs ces temps-ci avec le reste de l’équipe du commerce en question. Il sait mettre en valeur son produit, mais sans tomber dans les excès burlesques… Mais le prix, alors : quelques centaines de dollars plus cher que le premier commerce visité. Pas attirant pour le portefeuille.

Finalement, on arrive à un troisième magasin. Qualité du produit semble meilleure. Vendeur très neutre, ne semble pas souffrir du complexe de supériorité qui affecte certains commerces de piscines. Arrive le prix qui sera sans doute le plus élevé des trois : eh bien non ! Prix se situant entre les deux précédents, grâce à une promotion assez béton. Parfait ! On achète ! Pas besoin d’aller chez Club Piscine et de risquer de tomber sur l’énergumène de l’été passé 😉

On a peut-être acheté vite, mais faut dire que l’expérience de l’été passé aidait à poser les bonnes questions plus rapidement… Reste à attendre l’installation, quelque part vers la fin mai. D’ici quelques semaines, j’aurai hâte un peu !