Yeux rouges… yeux jaunes !

Découverte faite par pur hasard en posant le chien…

Tout le monde sait que les yeux rouges, chez l’humain, sont le reflet du flash (qui a surpris la pupille trop ouverte et y est entré) sur la rétine au fond de l’oeil.

Mais chez le chien, il semble que le reflet n’ait pas la même couleur, comme le prouve cette image.

Découverte sur le (très) tard

Quelqu’un a créé ce blogue de réflexions pendant toute la durée de la dernière campagne électorale, et juste pendant ce temps.

Au moment où le blogue ferme, je le découvre… Une chance que l’auteur a décidé de laisser ce blogue sur la toile, comme archive.

La dernière réflexion est vraiment très intéressante ! C’est là toute l’importance des buts, pas juste les buts individuels, mais les buts collectifs qui mènent à la réalisation d’une collectivité, d’une société qui ne peut se résumer juste en une simpliste addition d’individus plus ou moins isolés… On ne peut mener une société, une école, une entreprise, juste en gérant à courte vue, en comptabilisant les chiffres de la semaine ou du mois. Il faut aussi avoir une vision d’ensemble, un plan à plus long terme.

Cette réflexion, c’est aussi l’importance du rêve, pas le rêve-illusion, mais celui qui devient moteur poussant à l’action, celui qui motive les projets. Ce rêve qu’il faut encourager chez les plus jeunes, relève de demain. Dans ce contexte, il faut faire attention au mot désillusion, employé au sens de lucidité-adulte, qui dénigre ou dévalorise le rêve-moteur essentiel à tout avancement… à tout projet.

Minuit a sonné

Tout le monde en parle : moi’si !!!

OUF ! Quelle finale hier soir pour Minuit le soir. Une série dramatique québécoise parmi les meilleures ayant existé à la télé ici.

Une finale triste, sombre, comme la série, mais pas surprenante au fond, puisque le scénario du dernier épisode a suivi la logique de la série… Certains parlent d’un possible happy end qui leur aurait plus plu. Je suis loin d’en être convaincu, car ça aurait fait trop american dream comme finale.

En tout cas, je crois bien que c’était vraiment le dernier épisode et qu’une suite sera très difficile à faire, maintenant…

Pression dans les sports

Un autre exemple de surplus de pression dans les sports : cet entraineur-père qui a brutalisé sa fille, une nageuse ukrainienne aux Mondiaux d’Australie aujourd’hui. Les images ont fait le tour du monde…

Évidemment, on est automatiquement contre de tels gestes abusifs, gestes probablement “commandés” par un excès de pression parce que la fille n’avait pas assez bien réussi.

Cet événement met en lumière quelque chose de plus caché. Combien d’athlètes subissent la pression de leur entraîneur, de leur pays, de toute autre personne ? Combien d’athlètes se mettent eux-mêmes plus de pression que nécessaire ? Dans notre monde qui s’accélère parfois de façon exponentielle, à la limite des capacités humaines, les élites doivent réussir encore plus et aller encore plus loin. Cela donne parfois (souvent?) des abus. Abus de substances favorisant un excellent résultat très rapidement, mais dont les conséquences peuvent aller jusqu’à provoquer la mort prématurément. Abus d’exigences de la part de l’entourage de l’athlète… jusqu’à ce que tout casse, ou se casse.

Parfois, ces abus retrouvés dans les sports d’élite et les grandes compétitions se glissent dans les milieux professionnels où certains employeurs exigent toujours plus, toujours plus vite. Bien sûr, je suis contre la paresse (Ceux qui me connaissent savent à quelle vitesse je vais à peu près toujours… Attention, pas de vitesse pure ici, mais de vitesse efficace !). Contre la paresse, donc, mais contre les abus aussi !

L’excellence n’est pas uniquement celle des chiffres, mais elle doit être, d’abord et avant tout, celle qui se mesure en qualité. Donner le meilleur de soi, d’accord. Être obligatoirement LE meilleur, non merci !

Dans le cas d’aujourd’hui, en plus, on mentionne le fait que c’est une caméra “cachée” qui a capté le tout. Des caméras, il commence à y en avoir partout ! Là aussi, il peut y avoir abus (certaines personnes filmées à leur insu et dont le film se retrouve sur YouTube, par exemple). Mais aujourd’hui, tous s’entendent pour dire que la caméra a servi à dénoncer un abus…

Le verdict !

Les Québécois sont pour le moins très divisés. Presque 1/3 pour chacun des grands partis, 32-32-28 % du suffrage (au moment d’écrire ceci), le reste allant au “petits partis” (4-4 – un gain de 3 % chacun, ce qui n’est pas rien non plus !).

J’entendais Bernard Drainville disant que ça prendra quelques mois à décoder le message que les Québécois envoient : voyons, pas tant que ça, M. Drainville ! Les Québécois ont voté par dépit, mais un dépit clairement exprimé avec un bon pourcentage de participation. C’est la montée de l’ADQ (Avance du Dépit Québécois, disais-je ici) et celle des petits partis également, mais dans une proportion moindre, c’est évident ! Les Québécois envoient un message disant que celui (le message) des “vieux partis” ne les rejoint plus, c’est tout…

Bien sûr, je simplifie grandement. Mais il n’empêche que les 3 partis qui ont pris, toutes proportions gardées, le plus d’avance sont ceux qui n’étaient ni le parti au pouvoir, ni l’opposition officielle.

AJOUT : 07-03-27-08h04 :
Finalement, le taux de participation qui s’annonçait plus élevé ne l’a pas été autant que ça… Le dépit s’est parfois “exprimé” par le silence… Dommage ! Si le taux avait été de plus de 80 %, aurait-on eu la même répartition, je crois que oui, en gros.

Également, la répartition du suffrage est plutôt de 33-31-28-4-4, ce matin.