Bébé Alexis :-)

Comme tout papa pour la première fois, je suis un peu gaga, ne vous en déplaise ! Mais ça va se passer, n’ayez crainte… en fait, ça ne passe jamais, mais ça se dose 😉

Alors voici notre fils Alexis, quelques jours après sa naissance (Le compte à rebours s’est transformé en compteur de jours en temps réel depuis la naissance… gracieuseté d’une erreur de programmation quelque part dans le widget !)


Depuis environ 3 jours (à partir du jour de la naissance), plein d’émotions m’habitent. Impossible de les nommer, les mots sont parfois inutiles ou incapables de traduire la richesse et la complexité de la variété des émotions…

Une pièce instrumentale (je sais, ça ne rejoint pas un large public, ce genre de trucs, mais dans mon cas, ça parle parfois bien plus qu’on pense…) m’a trotté dans la tête constamment depuis 3 jours : les solos, les différents riffs, tout y était avec une précision surprenante… Et cette pièce venait se jumeler au mélange d’émotions joyeuses de façon tout aussi transparente et limpide. J’en suis le premier surpris.

Alors si vous voulez “apprécier” le truc (du genre jazz-fusion-machin-pas-toujours-catégorisable(!)), vous pouvez toujours écouter la pièce suivante, sinon, pas pires amis pour autant 😉
Ça vous donnera une idée de la complexité des émotions – il serait même intéressant de tenter de traduire toute cette complexité musicale (écouter le solo de sax ou celui de la guitare) en une formidable équation dont le nombre de variables finirait par décourager le plus persévérant des matheux 😉

Pandas Dream – Dave Weckl BandPandas Dream – Dave Weckl Band

Et je rêve du jour ou fiston pourra jouer cette pièce avec papa qui se verrait très bien combler discrètement (mais très présent) les lignes de B3 (orgue) qui soutiennent admirablement bien l’ensemble dans cet extrait.

Bébé est né !

Bébé est né. C’est une beau garçon de 20 pouces, 7 lbs et 13,4 oz (51 cm et 3,554 kg pour les métriques ;-))

Plus de nouvelles plus tard.
Pas de connexion Internet à l’hôpital…
Disons que maman et bébé vont très bien et que papa est fort ému 🙂
À+ pour tous, chers lecteurs 🙂

Dîner de twits :-)

Ce midi, j’ai participé partiellement (faute de temps disponible – je devais me diviser en 2, presque 3) à ce que nous avons amicalement convenu d’appeler le dîner de twits !

En fait, l’idée est venue comme ça, un jour, sur Twitter et 3 heures et 4-5 phrases de même pas 140 caractères plus tard, le rendez-vous était fixé. (Lien ici, 2e paragraphe)

Ce midi, nous avons jasé de pédagogie, de changement de paradigme, des TIC qu’il faudrait BIEN intégrer (2 sens ici) au système d’éducation actuel comme quelque chose qu’on colle “par-dessus” ou des TIC qu’il faut plutôt voir comme un outil plus englobant au même titre que l’imprimerie qui révolutionna le monde jadis… Etc. Une bonne partie a été enregistrée pour retour ultérieur possible…

À divers moments de la non-conférence (car c’en était bien une), ont été regroupés jusqu’à 6 intervenants du domaine de la formation et des apprentissages provenant de l’Angleterre et du Canada (du Nouveau-Brunswick, du Québec et de l’Ontario)…

Une belle expérience, malgré les bogues des plug-ins d’Adobe Connect sur Safari (vive alors Firefox), les incompatibilités d’Adobe Connect sur Linux et les quelques saccades audio et vidéo inhérentes à nos connexions perfectibles…

Ci-joint une capture-écran de l’événement, avec l’Aimable autorisation de chacun des participants 🙂


MISE À JOUR : Photo d’une des personnes légèrement rendue floue à sa demande 🙂

De l'interconnectivité

…tiens, un titre à la CFD 😉

Comme je l’ai déjà dit ici, j’expérimente Twitter depuis quelques jours à peine et je découvre un formidable potentiel d’interconnectivité avec des individus que je lisais déjà pour la plupart sur leur blogue, mais ici on parle de connectivité plus instantané tout en demeurant asynchrone.

Une illustration de l’efficacité de Twitter :
-hier, en 3 heures seulement, à la suite d’une méprise de nom pour un repas entre quelques personnes (en … personne, justement), l’idée d’un dîner Twitter (ou Dîner de Twits – pour paraphraser le titre d’un film très connu) a germé, puis s’est concrétisée. Ce sera un dîner-non-conférence, où on parlera sans doute d’éducation (on est tous des éducateurs, formateurs, alouette !). une excellente occasion de se rencontrer et de continuer d’avancer hors des cadres officiels souvent trop structurés et parfois paralysants !

Une autre illustration de l’interconnectivité :
-hier avant-midi, vers la toute fin d’une période, alors que mes élèves terminaient un travail, mquimper (du nom de son identité Twitter) me montre rapidement comment il peut fonctionner avec AdobeConnect. On teste sur le champ, avec audio et webcam alors que la pause commence. Mes élèves s’attroupent alors, fascinés, voyant qu’on peut faire ça comme ça, simplement, et ainsi travailler tout en s’amusant avec nos bébelles technologiques… Pas eu assez de temps pour continuer, car je devais me déplacer dans un autre pavillon, mais ce n’est que partie remise !

Encore un autre exemple… :
-hier encore, sur l’heure du dîner, je lis qu’une enseignante de Français Langue Étrangère (FLE pour les cousins français ;-)), basée à Los Angeles, qui cherchait (il y a quelques jours – Twitter et sa quasi-instantanéité ne font pas partie de notre modus operandi dans ce cas) à rejoindre des élèves francophones pour échanger via webcam, m’avait répondu et me proposait d’en discuter. Nous nous fixerons donc une réunion Skype pour bien fixer nos objectifs respectifs et, par la suite, nos élèves pourront échanger, afin de mieux maîtriser leur compétence en communication orale (ce que nous, petits Québécois, escamotons parfois un peu trop !) À suivre !

Par la suite, j’avais une réunion en temps réel et en personne avec des collègues. Instantanément, j’ai décidé de créer une page Jottit pour rendre disponible tout de suite la réunion terminée, le compte rendu de nos discussions. Fascinant, non ?

Y a pas à dire, les horizons semblent vouloir s’ouvrir de plus en plus grand et de plus en plus rapidement. J’adore ! Et ceci nous permet de nous consoler de cela.

Sauce et illusion d'optique

Aucun lien entre les deux noms du titre !

En attendant de publier un billet dit “sérieux” en préparation entre quelques neurones, voici quelques images…

D’abord celle de la sauce dûment complétée, prête à servir ou presque. Mmmm !


Ensuite, depuis quelques jours, un nouvel appareil a poussé au salon. Quand je passe et que je vois, dans mon champ de vision ce truc (flou parce que hors zone centrale de l’oeil…),

mon cerveau décode ceci

au lieu de cela !