Lu ici, chez Cyberpresse.
Un éditorial sur l’abolition des devoirs, car les enfants (on parle du primaire dans cet article) font littéralement stresser les parents avec leurs devoirs. La vie familiale s’en trouve tout à coup bouleversée, voire impossible à vivre !
À lire aussi les commentaires qui suivent. La majorité envoient paître la rédactrice de l’article (J’exagère, je sais !), mais certains appuient une partie des éléments du texte…
Dans ce genre de “réflexions” et des commentaires qui suivent, il y a UN GROS MANQUE : on tente de réduire les divers éléments qui composent une situation complexe (vie familiale stressée, etc.) à une ou deux choses d’une simplicité irréelle… Il existe parfois des solutions simples, mais il ne faut pas non plus donner dans le simplisme !
Là où je suis complètement d’accord, c’est qu’il y a plusieurs formes d’apprentissages. Il ne faut pas non plus oublier qu’on est toujours en processus d’apprentissage, enfant comme adulte… Et ça, on a trop souvent tendance à l’oublier, probablement à cause de notre conception très linéaire de la vie elle-même.