Traduction ?

Reproduction textuelle (j’insiste! – espaces manquantes incluses) d’une étiquette dont j’oublie la provenance, puisque c’est une étiquette que j’avais numérisée il y a un ou deux ans, chez quelqu’un d’autre, et que je m’étais envoyée par courriel ensuite.

Je n’ai pas placé l’image ici, car trop pâle et floue, ce qui n’enlève rien à la bêtise humaine 😉

Version anglaise :
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WARNING

  • Place lit candle way from flammable materials.
  • Place on temperature safe surface.
  • Keep wick trimmed to 3/4 inch.
  • Keep away from reach of small children.
  • To extinguish the candle blow out the flame.
  • Do not stuff. Do not pinch off burned tip wick.
  • Never leave burning candle unattended.

MADE IN THE PHILIPPINES
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Version «française» :
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MISE EN GRANDE

  • La faconde bougie de lit d’endroit des matériels inflammables.
  • Placer sur la température surface sûre.
  • Garder la meche taille a 3/4 pouce.
  • Evite la portée de petits enfants.
  • Pour éteindrele bougie éteint la flamme ne fait pas le tabac à priser.
  • Pas le pincement de la meche de pointe brulée jamais congé bruler la bougie indépendante.

AUX PHILIPPINES
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Paiements faciles

S’il y a une expression qui m’énerve (et non qui m’excite, soyons clairs !) , c’est bien celle-là. Et on l’entend dans toutes ces pubs-presque-arnaques qu’on voit à outrance, à la télé, surtout.

On peut faciliter un paiement, un gros, en le subdivisant en plusieurs versements. Mais expliquez-moi quelqu’un en quoi des paiements (au pluriel) peuvent être faciles. Les versements (au pluriel) facilitent le paiement de quelque chose qu’on ne pourrait s’offrir autrement, d’accord. Mais les versements (terme correct, au lieu de paiements au pluriel) ne peuvent être faciles en eux-mêmes… Voilà !

Bref, les versements ne sont pas faciles, mais ils facilitent quelque chose, le paiement.

Bon, OK. Je l’ai dit, je me sens mieux : alors allons travailler maintenant. Oui je sais, c’est samedi, mais j’ai un petit extra musical aujourd’hui…

Belle initiative

À la fin de la semaine passée, deux élèves viennent me voir :
-On voudrait faire de la musique avec vous au dîner de la saint Valentin à l’école. Est-ce que ça serait possible ?

Après m’être enquéri un peu plus de la teneur du projet (jouer de la musique jazz assez relax pendant le dîner romantique organisé par le conseil étudiant), j’acceptai d’emblée, trouvant le tout un peu flatteur, même 😉

Aucune pratique. Juste un choix de quelques partitions dans le Real Book que j’avais et, hop!, voilà le train lancé. Bien sûr, ce n’était pas parfait, le clavier de l’école me lâchant quasiment en plein milieu d’une pièce (reset nécessaire), mais les élèves, eux, étaient ravis… et moi aussi, par la même occasion ! Bref, j’ai adoré cette initiative spontanée, pas compliquée à réaliser, car les élèves, eux, avaient préparé leurs partitions pendant la fin de semaine (transposition pour le sax, vérification des partitions avec un prof de musique en cours privé, etc.). Bref, beaucoup de plaisir et une expérience à renouveler, je l’espère.

Si j’avais eu ce courage, à 14 ans, d’inviter un prof à jouer avec moi, j’aurais trouvé en cette expérience quelque chose de formateur et de motivant, au plan musical, entre autres. C’est ce qu’ils en retirent, je crois (humblement), d’après les commentaires recueillis après l’activité hier midi, si j’entends entre les lignes 😉

La pause Dawson

Pause obligatoire de 36 heures pour tous les concurrents. Quelques explications pertinentes du directeur de la course ici, entre autres à propos du calcul du temps pour chacune des équipes…

Pour ceux qui aiment moins les courses de chiens, d’autres petits billets sont en préparation (ça mijote, lentement mais sûrement comme dit l’adage), mais je manquerai cruellement de temps aujourd’hui : rencontre de parents pour les bulletins ce soir…

Yukon Quest – 1er abandon

… et non le moindre pour ses supporters québécois : Catherine Pinard.
Aucune raison officielle. Infos supplémentaires arriveront sûrement plus tard ici.

C’est décevant de perdre son musher préféré. C’est comme perdre son coureur préféré en F1 pendant une saison (ce qui ne s’est pas produitpour moi, car Villeneuve n’était plus mon préféré depuis longtemps…). La course devient alors moins intéressante, émotivement parlant, mais ça aura le mérite de me familiariser et de me faire connaître d’autres coureurs.