Le WWW libre et accessible pour tous

L’inventeur du web, Tim Burner Lee, a annoncé hier soir la création d’une fondation afin de rendre le Web libre et accessible pour tous !

Le communiqué de presse en français est ici.

Cette démarche veut favoriser la communication, la collaboration, la connexion des gens grâce à la technologie disponible (et la rendre disponible à tous). Reste à trouver des donateurs ! Ce qui ne se trouve pas beaucoup dans le milieu de l’éducation québécois, pauvres que nous sommes… Il faudra donc chercher ailleurs.

Perso, je souhaite que cette initiative atteigne ses buts et même plus 🙂

Twitter – micro-blogue

Twitter. Plusieurs connaissent ici, d’autres pas.

Personnellement, ça fait de nombreux mois que j’en avais entendu parler, mais juste le nom suffisait presque à me rebuter. Un twit, au Québec, c’est loin de désigner un billet de 140 caractères et moins ! Pour nous, la significatin première du “mot” est “épais”, “niaiseux”, “pas brillant”, etc. Les synonymes ne manquent pas dans le langage populaire…

Par la suite, Twitter pour moi, ce n’était qu’un mini-Facebook qui permettait de faire connaître ses humeurs, voire ses allées et venues, à ses proches, ou à toute la planète… Inutilité assurée dans mon cas, surtout pour toute la planète.

Cet été, juste avant le retour au travail, François a commencé à me titiller avec son adhésion à Twitter, en en parlant comme d’un micro-blogue. Twitter est plus instantané qu’un blogue, plus mobile encore aussi. Il est facile de publier moins de 140 caractères à partir d’un cellulaire, d’un iPod Touch ou tout autre appareil petit, portable et plus mobile qu’un ordi portable… Twitter, certains soir, se transforme en clavardage légèrement asynchrone avec nos proches, ce qui le transforme alors en mini-Forum de discussion sur un ou des sujets.

Twitter souffre en même temps de cette limite de 140 caractères maximum pour chaque intervention… De même que l’absence d’indexation-sujet de discussion automatique. Il me semble que lorsque on fait Reply, au moins un petit “Re:” devrait se générer automatiquement. Détail, il est vrai !

Bref, j’aime bien quand même…

Devant la multiplicité des outils qu’on peut aujourd’hui retrouver – et parmi lesquels on peine parfois à retrouver nos propres besoins vs l’outil (ou l’inverse!) – il me semble que les possibilités d’utilisations et d’apprentissages ne cessent de se multiplier aussi à la vitesse Grand-V… Les techno-natifs, eux, s’y retrouvent beaucoup plus rapidement que nous, les vieux non-natifs. En même temps, le fossé entre les “connaissants” et les “ignorants”, peu importe leur âge, ne cesse de se creuser à la même vitesse. Il faut garder cela à l’esprit, selon moi, mais ne pas se retenir de sauter dans le train non plus pour autant, sinon il ne se passera jamais rien. Et pour sauter dans le train, on a tous besoin de mentors, ces gens passionnés (2 sont en lien dans ce billet) qui nous poussent à aller plus loin et qu’on devrait écouter en plus grand nombre…

La politique, ça vaut pas…

… de la fiente d’oiseau :-/

Décidément, quand je vois de telles niaiseries, je me désole encore plus de la classe politique.

On veut nous faire gober qu’il faut voter pour ÇA en toute démocratie ? Je trouve que l’orthographe du mot démocratie devrait se transformer en démo-crassie, point final !

Rendu bas comme ça, comment peut-on pouvoir espérer gouverner un pays ? Décidément, il y a des gens puérils dans l’équipe qui font des pots cassés… Tout ça devient digne d’une mauvaise blague de quelqu’un qui a oublié sa maturité dans le fond d’une garde-robe !

Au fond, je ne sais pas pourquoi je me désole. Ça confirme ce que je pensais depuis longtemps de la classe politique en général… Dommage également que tout ne se résume qu’à une campagne d’image.

Seul point positif, Internet semble jouer de plus en plus en campagne, mais pas nécessairement de la bonne façon, ce qui fera dire à plusieurs qu’Internet, ça ne vaut pas de la … fiente !

Pièces jointes inutiles – ça m'énarve !

Je reçois cette semaine, par courriel, l’annonce d’une réunion-commission, où tous les gens travaillant à la commission scolaire et dans les écoles s’y rattachant sont invités. Jusque là, pas de problème, sauf que le corps du message nous dit simplement et SEULEMENT d’ouvrir la pièce jointe qui contient, elle, l’essentiel du message : quelle perte de temps et quels clics de souris inutiles ! Cette façon de faire se produit souvent dans les communications de la CS.

Je n’en revenais tellement pas que j’ai écrit à l’expéditeur, quand il a aujourd’hui envoyé un rappel où tout l’essentiel du message était, cette fois, ENFIN !, dans le corps du message lui-même.

Enfin un peu d’efficacité, mais c’est tellement rare 🙂

Je sais que, parfois, on veut faire cute, mais l’efficacité doit passer avant tout. Quand on gère des tonnes de courriels et autres trucs parfois mieux adaptés (ex. Je teste Twitter ces jours-ci), on veut que ça soit efficace et non jouer aux poupées russes dont la dernière à ouvrir contient le message.

Qu’on se le dise !

Signe des temps ?

Aujourd’hui, plus de la moitié de mes voeux me sont parvenus via Facebook, outil réseau à travers lequel j’ai retrouvé certaines personnes dont j’étais depuis longtemps sans nouvelles, et ce, même si je suis de la génération pas très Facebook 🙂

L’autre moitié des voeux se divise en trois, une plus grande partie par téléphone, puis les deux autres, par courriel ou en personne. Donc, ces trois parties (téléphone, courriel et “en personne”) réunies équivalent environ, mais pas tout à fait, au nombre de souhaits de bon anniversaire reçus via mes amis sur Facebook. Et ce à peine quelques mois après que je fus devenu membre de Facebook…

Y’a pas à dire, les réseaux sociaux prennent de plus en plus de place et constituent de plus en plus un réel moyen de communication.