Logos et couleurs – mis à jour…

Avez-vous remarqué que le PQ a changé de logo (je ne sais depuis combien de temps) ?
En roulant ce matin, tout en contemplant le nouveau paysage de pancartes le long des rues, j’ai remarqué un changement dans les couleurs, puis dans la disposition de la patte du Q…

Ce bleu et ce vert (à part quelques nuances subtiles que seul un graphiste peut déceler par les numéros Pantone) se retrouvent sur pas mal trop de logos depuis 2-3 ans… C’est bien beau la mode, mais peut-on choisir parfois d’autres couleurs pour les logos ?

Sur ce, je crois que je vais aller me concocter un petit logo pour mon blogue : vert presque fluo et bleu poudre foncé, ça vous dit ? 😉

MISE-À-JOUR : 07-02-23–07h01
Hier soir au Téléjournal, (après la rédaction de ce petit billet!), le président du Parti Vert affirmait que le nouveau vert du PQ lui plaisait, puisque cette couleur était associé à son parti (dans la tête des gens). Preuve, selon moi, que ce ne sont pas les formes et les symboles seuls qui jouent un rôle dans les logos, mais les couleurs aussi… (Alors pourquoi trop de graphistes s’acharnent à utiliser toujours les deux mêmes couleurs ?)

Tiens : on part un concours ! Trouvez-moi des logos en bleu et vert presque fluo : ce ne sera pas très difficile ! Comme premier prix : toutes mes plus sincères félicitations, pour commencer ! Si possible, insérez la référence (au moins copier l’adresse du site ou la balise HTML “a href”…) pour qu’on puisse voir de quoi a l’air ce logo, si on le connait moins ou pas…

Corona – mystère résolu !

Un bel exemple du “maillage social” dont parlait François dans ce billet.

1-Stephan envoie la référence au vidéo de la Corona qui gèle instantanément.
2-Son interrogation sur ce phénomène assez spécial suscite chez moi une grande curiosité.
3-J’en parle à un collègue de travail, un prof de sciences.
4-Ce collègue me promet de trouver la réponse.
5-Quelques jours plus tard, il me revient avec… quelques renseignements fort utiles pris dans un forum de discussion dans Internet, ainsi qu’un article tiré de Wikipédia (Voir Surfusion). On boucle la boucle : on est parti du Net pour mieux y revenir ! En même temps, c’est un bel exemple de coopération dans une résolution de problème 😉

Alors voici la solution, version vulgarisée… : on amène le liquide très légèrement sous le point de congélation (on parle de 2 heures au congélateur pour la bouteille de Corona). Vu que le liquide est sur le bord de geler (i.e. devenir à l’état solide), les molécules sont très près les unes des autres, comme dans tout solide, mais elles ne sont pas encore assez près pour que la substance devienne solide. Par contre, quand on crée une légère onde de choc (cogner la bouteille, par exemple), certaines molécules se “collent” un peu plus, ce qui provoque la solidification… et cela s’enchaîne de par le faible degré d’énergie des molécules à moitié gelées…

Dans Wikipédia, on trouve plus de renseignements détaillés, avec quelques graphiques à l’appui (Consulter le lien ci-dessus).

Fonction inutile ?

…ou presque ! C’est un affichage optionnel, sous celui de l’heure, qu’il y a sur le four nouvellement installé.

La seule utilité que j’ai trouvée jusqu’à maintenant à cet affichage, c’est que, pour la deuxième semaine de suite, mon four m’indique que la fin de semaine est proche 😉
À quand l’agenda intégré et, pourquoi pas, le téléphone (ou iPhone ?) 😉