Vive la Finlande !

Quand je lis un article comme celui-ci, je me désole de penser qu’au Québec, en éducation, c’est VRAIMENT le Tiers-monde 🙁

Là-bas, c’est l’enfant qui est la «première priorité» (pour emprunter une expression charestque). Ici, c’est l’administration (CS, etc.) Quand la bureaucratie domine ?…

Firefox 2 / Safari 0,5

Curieux pointage, mais il réflète la réalité.

Il était connu que Safari, le navigateur internet d’Apple, connaissait certains ratés, principalement sur le plan de la compatibilité avec certains diteurs web 2.0, comme celui que j’utilise présentement pour écrire ce texte (Blogger).

On parle ici de Safari, version 2.x.

Depuis l’avènement de Safari, version 3.0.4, qui venait avec la dernière mise à jour gratuite de Mac OS X 10.4 (10.4.11) ou avec le Léopard payant (Mac OS X 10.5), je pensais enfin pouvoir éditer mes billets dans Safari directement, puisque je l’utilise encore souvent pour naviguer. Enfin, constatai-je au premier coup d’oeil, tous les boutons d’édition sont enfin présent dans Blogger…

Mais, je me suis aperçu la semaine dernière, que certaines fonctions d’édition sont plus ou moins disponibles dans Safari 3.x; par exemple, le copier-coller à partir d’un texte écrit ailleurs se passe de façon bizarre : le texte se colle dans le bas de la fenêtre du navigateur au lieu de se coller dans le corps du texte à être publié sur le blogue… (!?!?!) Il y a aussi un ou deux trucs au fonctionnement erratique que j’ai constaté : dans Movable Type (utilisé pour nos blogues scolaires – j’y reviendrai dans un autre billet), le bouton pour créer des liens html dans le texte ne fonctionne tout simplement pas dans Safari 3.x.

Dans Firefox ? TOUT fonctionne A1 !
Alors, Apple, j’aimerais bien savoir comment est programmé Safari. L’interface est très agréable, la rapidité est au rendez-vous également, mais la compatibilité n’est toujours pas présente complètement, ce qui est un vrai non-sens, à mon avis ! Ceci dit, vive Firefox, alors !

Quantifier le qualitatif…

Idée en l’air comme ça, qui m’est venue cet après-midi :
vous connaissez peut-être le petit «jeu» suivant (voir image) qui n’est pas vraiment relié aux mathématiques, mais plutôt à la lecture, à la description et à la façon d’écrire quelque chose, des concepts beaucoup plus linguistiques que mathématiques au départ. Le principe est simple pour ceux qui ne le connaîtraient pas : chaque ligne «décrit» ce que l’on voit à la ligne précédente… mais on l’écrit en chiffres, sans aucune lettre.

Conclusion : il est aussi cohérent d’essayer de faire des moyennes avec ce «tableau» de chiffres que de faire des moyennes avec des nombres sortis d’un chapeau ministériel et qui sont supposés «traduire»*, en langage compréhensif pour gens supposément ignorants, des qualitatifs décrivant le niveau d’atteinte d’une compétence…

Fallait que je le mentionne en passant !
*Traduction dans le sens des traductions automatiques qu’on voit parfois sur le Net. Exemple le plus loufoque à vie pour moi : Strawberry fields forever, des Beatles, traduit par «Gisement de fraises pour toujours» (sic) !

Image… 1 / Contenu… 0

Voilà à mon humble avis le score affiché devant nos yeux hier soir à TLMEP.

Bien sûr, je parle, comme tous les blogueurs en lien dans la colonne de droite ci-contre (Ça va éviter d’écrire 15 fois le mot ici avec un hyperlien différent sur chacun ;-)), de la visite de notre chère ministre de l’éducâtion à l’émission d’hier du roi au grand menton (Pas Mulroney… l’autre plus jeune, ex-RBO et un peu plus baveux, mais si peu…)

Aucun leadership de Guy-A hier soir. La ministre a pris le contrôle de l’image, appuyée par un Patrick Huard extrêmement téteux, méconnaissable… (La quête de subvention et la prostitution, ça se ressemble, mis à part la volonté de l’abaissement qu’on retrouve seulement dans le premier cas).

Que de la poudre aux yeux du bon peuple qui, ce matin, appuie inconditionnellement ou presque (dans ce cas-ci à ma grande surprise – l’auteur nuance plus, d’habitude – preuve que la ministre finit par convaincre à force de séduire l’électorat de grands coups de gueule !)

Il y avait bien une ou deux phrases intéressantes, pas mal diluées parmi tout ce show de boucane médiatique, mais ce seront rarement les phrases qui auront été retenues. Je parle ici entre autres de la mini-lilliputienne tirade sur les bienfaits de la littérature…

Pour ce qui est de l’animateur-roi, passer comme ça à côté d’une entrevue qui aurait pu être très intéressante relève soit d’une inconscience hors du commun ou de la non-préparation presque volontaire… Quoique un show de variété et un show politique, ça se ressemble beaucoup, non ?

Une autre carte ? Non merci !

Ça y est. Depuis quelques jours, on la voit dans les pubs, la nouvelle carte TimExpress dont une relationniste chez Tim Horton m’avait glissé un mot par courriel il y a environ un an et demi, alors que j’écrivais pour me plaindre de l’absence de lecteur de cartes de guichet ou de cartes de crédit dans tous leurs commerces.

On m’avait alors abreuvé de raisons plus ou moins réelles, alors que tous peuvent deviner que la véritable raison de l’absence de terminal pour cartes de guichet en est une de coûts. Parfois, dans certains petits commerces où on ne trouve pas la possibilité de payer par carte, je comprends. Mais pour une grande chaîne de la taille de Tim Horton, je ne peux comprendre, tout simplement.

En cette ère où le portefeuille est «ça» d’épais, une carte supplémentaire : non merci ! Point.

Tout ça me fait penser à un autre débat sur les formats propriétaires versus les architectures plus ouvertes, ou encore à la censure chinoise voulue par l’ADISQ versus le marché musical via le net… Mais ce sont deux autres histoires bien plus passionnantes que l’insignifiante carte brune et rouge…