Découvert grâce à Jocenado sur Twitter ceci.
On nous illustre, avec des billets de 100$ (US, ben sûr, puisque c’est dans ce pays qu’on a un plan de 1000 milliards de mille sabords de dollars…), combien de place peuvent occuper 1000 milliards de $…
Réflexions, coups de coeur, interrogations, illustrations, divagations…
Découvert grâce à Jocenado sur Twitter ceci.
On nous illustre, avec des billets de 100$ (US, ben sûr, puisque c’est dans ce pays qu’on a un plan de 1000 milliards de mille sabords de dollars…), combien de place peuvent occuper 1000 milliards de $…
Voilà, c’est fait, j’ai (enfin ou plutôt malheureusement…) ma nouvelle interface Facebook dont on a tant parlé, mais dont on n’avait aucune idée de ce à quoi elle ressemblerait…
Maintenant c’est fait. Facebook tente de se twitteriser à outrance. (Tournez l’un des logos ci-contre et le f peut devenir t…)
Facebook est un outil de réseautage social.
Twitter est un AUTRE outil de réseautage social.
Les 2 ont des utilités fort différentes, je ne vous apprends rien !
Alors pourquoi l’un, Facebook, 20 fois plus gros que l’autre (Twitter) selon les statistiques les plus récentes (datant d’il y a quelques jours à peine, environ), décide d’imiter de plus en plus au point de se dénaturer ?
Très simple : c’est l’histoire d’une vendetta tout ce qu’il y a de plus simple… (Au point d’en “faire simple” !) Facebook a tenté d’acheter Twitter. Twitter a refusé. Facebook est insulté, en beau joualvert (cheval vert en français international, mais l’expression perd de sa saveur). Facebook décide qu’elle va mener la vie dure à la très croissante mais encore relativement petite (comparée à Facebook) Twitter… Alors on y va par l’imitation, pour tenter de neutraliser les utilités de Twitter qui se retrouvent moins dans Facebook.
Résultat, des gars comme N.Roberge délaissent Facebook de plus en plus, car on n’y retrouve plus les utilités que CE réseau avait… Vouloir canibaliser un réseau en adoptant ses utilités, ça peut se retourner contre l’imitateur et ça peut trop le transformer au point de le dénaturer…
Si Facebook ne fait pas volte-face ou ne réajuste pas le tir, elle risque de se tirer dans le pied et, au lieu de croître encore (même si le “petit” Twitter croît encore plus vite, en %), risque de chuter un peu plus chaque jour.
Si Facebook veut devenir un nouveau MySpace qui a essayé de tout embrasser les différentes utilités au point où plusieurs ont cessé de s’y retrouver (dans tous les sens du verbe), il n’en tient qu’à Facebook et à son jeune président.
Tout ce que je souhaite à Mark Zuckerberg, ce jeune président, c’est d’avoir assez de jugement pour apprendre de ses erreurs. C’est encore possible : la balle est dans son camp !
En complément : à lire, ce billet : Facebook qui tente de re-faire le coup du nouveau Coke.
Fin de la semaine passée, dans un commerce à grande surface.
Toute la petite famille magasine tranquillement, toute heureuse d’avoir pu se faire rembourser (sous forme de carte échangeable contre de la marchandise) une grosse imprimante de 400$ décédée prématurément 3 mois à peine après la fin de la garantie de 12 petits mois.
Tout le monde est heureux, bébé aussi, tout empaqueté, mais détaché (pour un petit peu de liberté de mouvement des bras), dans son siège d’auto ultra enveloppant, la capote du siège un peu baissée pour pas que poupon s’affole et qu’il “claustrophobe” trop fort… Bébé regarde les couleurs vives sur telle ou telle boite de marchandise, puis regarde son papa qui pousse l’immense charriot dans lequel se trouve le siège dans lequel se trouve le bébé… L’arbre est dans ses feuilles.
Et la vieille fouine arrive dans le décor :
-Monsieur, les lumières ici sont vraiment très fortes, vous savez. Vous devriez (impérativement, dit son regard) abaisser la capote du siège (illico, dit encore la même maudite paire d’yeux) !
Je fige. Vraiment. Je ne trouve vraiment pas quoi répondre à ÇA. Je réagis souvent comme ça, en deux temps. C’est pas écologique, les deux-temps, mais c’est plus vite que quatre temps, non ?*
Farce à part, voilà maman qui revient avec un truc quelconque. Et la vieille coriace de répéter ses mêmes phrases. Maman de répondre, après un petit temps moins long que le premier temps de la réaction de papa :
-Mais quoi… Voulez-vous bien vous mêler de vos affaires !
Le tout dit fermement, mais sur un ton très poli.
Et la vieille maudite de répondre :
-C’est ça, laissez-y regarder les lumières trop forte, NAH !
Quelques temps passent (je peux les compter, comme en musique : 1-2-3-4 – donc, pas de “sic” ici)…
-Non mais, ils les regardaient même pas les lumières ! Il me regardait, souriant. Nous étions heureux. …
Quelques autres temps passent…
-Tsé, me dit-elle, j’suis encore en beau maudit !
-Moi aussi ! (GRRRR!)
La vieille acariâtre avait probablement lu un livre dont le titre pourrait être “Comment gâcher un instant de bonheur entre un poupon et son père”…
L’inconscience est une chose. La surprotection en est une autre. On peut-tu juste vivre équilibré et s’occuper gentiment de ses enfants sans avoir les imbéciles du village sur le dos ?
NOTE :
*L’allusion aux motorisations est purement fortuite, gracieuseté du souvenir de ma relâche et du “ski-doo” qui y a participé un petit peu.
-La couleur rouge utilisée pour mentionner le personnage qui n’a pas le beau rôle dans l’histoire est inspirée du sentiment provoqué par ledit personnage.
Bon, après les déboires non résolus de ma 2605 bien-aimée (mais bien-haïe hier), m’en vais à la même place qu’à toutes les relâches depuis maintenant 5 ans. 6e édition, donc, d’un “festival” familial agréable où nous marquons une pause bien méritée.
J’en avais fait un billet l’an passé qui nous donne l’endroit (un peu perdu :-)) et une idée de l’ambiance 🙂
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From Variations sur thèmes |
Bonne relâche à ceux qui en ont une !
De mon côté, les corrections empilées devront être faites au retour…