Météomédiocre :-(

Je ne sais pas si vous aviez remarqué, mais le petit module météo (que j’avais placé ici depuis quelques mois, gracieuseté de Météomédia) s’était dérèglé depuis au moins une semaine… Seules les 2 premières villes (au Québec) étaient affichées. Trois autres villes (non canadiennes) avaient mystérieusement disparues.

MISE À JOUR – 2007-05-12–7h30 :
Depuis hier après-midi, je suis allé chercher le code à nouveau sur le site de Météomédia (Mais à partir d’un PC au lieu d’un Mac… Je ne saurai jamais si ça faisait partie de la solution, à moins de tester de nouveau… plus tard !) Je trouve que les modules de Google prennent beaucoup trop de place, alors j’enlèverai ceux de météo de Google sous peu (Pas le temps aujourd’hui !), car il y a décidément trop de météo sur ce blogue 😉

Autre remarque : je ne sais pas si c’est le fait d’avoir commencé à utiliser des Google gadgets, mais la recherche de mon blogue sur Google avec peu de mots clés a fait en sorte que je parte de la 700 quelquième place pour aboutir en 1re hier et en 3e ce matin : étrange ! (Bof…)

Ci-dessous (pour les lecteurs qui ne seraient pas passés ici avant) : mes déboires avec le bidule de Météomédia, d’où le titre de ce «billet»…
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J’ai vainement tenté de me procurer à nouveau le code chez meteomediocre.com. Parfois, je ne pouvais même pas faire s’afficher la ville choisie… Je leur ai finalement écrit. Deux fois. Sans succès. On a beau cocher que notre message concerne tel ou tel aspect, c’est tellement con-vivial (!) qu’on n’est même pas sûr que le message se rend… car je n’ai obtenu aucune réponse. Silence total : service complètement nul, alors ! Il est même arrivé que le site me retourne une erreur en cours de rédaction de ladite lettre : GRRR !… et j’en passe !

Le site, sur ce point, s’est grandement détérioré, ou bien il n’est devenu compatible qu’avec Explorer 6 ou une autre niaiserie du genre, gracieuseté d’un programmeur inexpérimenté ou Microsoft-only… Le Web doit être universel, toutes plateformes ou tous systèmes d’exploitation confondus. C’est un principe de base auquel je tiens mordicus !

Alors devant cet état de fait et cette non-collaboration des plus évidentes chez Météomédiocrité inc., j’ai enlevé de mon blogue tout ce qui venait de leur site et l’ai remplacé par des Google gadgets… Seul hic très visible, ces gadgets prennent beaucoup plus de place que l’ancien module Météomédia pourtant très bien conçu au départ… Dommage pour eux, mais j’en avais assez.

L'Affaire Neufchatel – précisions suspendues…

Plusieurs d’entre nous ont lu aujourd’hui, à la Une du jounal Le Soleil, de Québec, ce que j’appelle l’Affaire Neufchatel ou l’Affaire PEI de Neufchatel.

Comme enseignant (au PEI en plus), j’ai lu rapidement et avec intérêt l’article en question. J’ai compris sur le coup que des élèves, dans un écoeurement général ou généralisé, étaient allés trop loin dans leurs commentaires. La liberté d’expression possède, comme toute liberté, ses limites. On peut dénoncer quelque chose, mais on doit le faire avec un minimum d’exigences et de compétence(s)…

En scrutant un peu plus l’article (ou les articles, voir ici et ici également) et en tentant de comprendre la situation, je suis parfois tombé sur un agencement de phrases plus ou moins complexe ou, disons plus précisément, déroutant, tant par un certain manque de rigueur que par la disposition des paragraphes. Ainsi, on aligne deux répliques, une d’un collègue de travail, l’autre d’un élève de Neufchatel, presque comme s’il s’agissait de la même personne qui parle, ou comme s’il s’agissait de deux personnes de la même école, ce qui n’est pas du tout le cas. Faut presque relire deux ou trois fois pour être sûr. Allô la confusion !

Comme le souligne CFD, il y aussi des erreurs de terminologie qui prêtent à de mauvaises interprétations, surtout pour les néophytes des technologies…

Finalement, à l’instar de CFD, j’ai trouvé pas mal d’information chez mon collègue qui a activement participé à une discussion qui dure (sporadiquement) depuis plus d’un an maintenant à ce sujet. Beaucoup plus instructif que la gibelotte, concoctée probablement très rapidement, pour aller sous presse vite vite vite (Ça presse !), du Soleil d’aujourd’hui.

Wikipedia en arrache… (?)

… Difficultés financières appréciables, selon cet article : voir ici. (Autre lien ici)

Ce serait dommage que cette entreprise libre (dans tous les sens du mot) ferme d’ici quelques mois… comme il serait probablement aussi dommage de la voir se faire littéralement bouffer par un gros Google, ou autres. À moins que la philosophie Wiki soit préservée coûte que coûte… Est-ce possible ?

Ajout : 07-02-11 : 21h45
Comme me le fait remarquer justement Germinator en commentaire, des corrections ont été apportées à cette nouvelle, principalement du côté anglophone pour l’instant (Alors j’y vais d’une correction franco 😉
Voir cet article assez précis ici.

Mise-à-jour : 07-02-22 : 21h45
en voici un autre ici.

Propriété intellectuelle

En lisant ce long message de Steve Jobs, je me mets à réfléchir sur ce sujet où plusieurs des bases d’antan sur la gestion des droits d’auteurs sont remises en question depuis quelque temps…

Steve Jobs prêche pour sa paroisse en voulant arrêter de s’embarasser des DRM (Digital Rights Managements ou Gestion numérique des droits). C’est toute une gestion pour 3% des fichiers de musique en place sur les différents iPod de la planète… Il souligne, à juste titre, que les 4 grandes compagnies de disques continuent de vendre leurs CD libres de tout DRM… Selon moi, ces grandes compagnies continuent ainsi de favoriser leur marché “à l’ancienne” (CD). — Quoique pour un maniaque de qualité auditive, les MP3 seront toujours des fichiers de seconde classe : et ça s’entend, moyennant un excellent système de son ou d’excellents écouteurs. Mais les MP3 en voiture ou en faisant une autre activité, c’est parfait !

Alors la question demeure entière : comment faire reconnaître la propriété intellectuelle sur ses oeuvres quand on est auteur ou compositeur ? Peut-on gérer cela à la pièce, pour chaque fichier MP3, ou pour chaque album complet, etc. ? Comment arriver à vivre de son art alors, si on ne peut comptabiliser le tout, ni faire payer chaque utilisateur ? Est-ce que l’auteur ou le compositeur ne serait pas mieux d’arriver à être d’abord connu et reconnu, puis à encaisser quelques petits profits par la suite ?

Est-ce que chacun de ces artistes ne serait pas plutôt mieux, surtout s’il commence dans le métier, de se mettre en marché lui-même via le web, sans passer par une méga-machine ou compagnie, de disque ou de distribution sur le web, qui lui bouffera une grande partie de ses profits sans même pouvoir contrôler la vraie distribution, celle qui s’effectue loin des grands sites, par l’échange de fichiers entre individus ? (On se prêtait bien des cassettes plus jeunes, alors la situation demeure fondamentalement la même aujourd’hui, mais les moyens ont simplement changé ou évolué… – c’est bien abstrait, ça, la propriété intellectuelle !)

Bref, beaucoup plus de questions que de réponses ce soir. Et surtout, n’attendez pas qu’une loi fédérale ne régisse le tout : “ils” sont encore en 1950 à ce chapitre ;-/

Chercher une chanson…

Mlle Isabelle (qui a pris le lien ici) m’a fait découvrir un site (SongTapper) où nous pouvons chercher une chanson dont on a oublié le titre ou l’interprète, ce qui m’arrive souvent (D’habitude, je retiens plutôt les notes dans l’ordre et dans le ton original, ainsi que la séquence des accords ;-)). Pour ce faire, nous devons taper le rythme de la mélodie sur la barre d’espacement et on nous propose une liste de titres. Presque toujours le premier choix est le bon. Requiert Flash 6.

Ajout : 31-01-07 : 23h07
Antoine vient de me mentionner un autre site, mais un peu moins convivial ou instantané (il faut s’inscrire et attendre qu’un internaute nous réponde) : c’est par ici !