«À longueur de journée» !

Pour ceux que ça intéresse, ce site comporte les heures de lever et de coucher de soleil pour toutes les régions du globe, aux dates que l’on veut.

J’ai découvert simplement ce site il y a quelques années déjà, alors que des amis déménageaient en Alaska pour 5 ans environ.

On peut ainsi savoir que présentement, le soleil est déjà couché là-bas. Il le sera bientôt ici aussi…

Voici ce que l’on obtient pour Fairbanks :
Puis pour Québec :
Enfin, comme j’ai des amis qui sont en Martinique pour encore quelques mois (un an au total), voici ce que les résultats donnent pour Sainte-Lucie. Désolé amigos, pas de Fort-de-France, ni de Martinique,encore moins Le Marin 😉

Remarquez aussi le très faible angle du soleil du midi pour Fairbanks, comparé à Sainte-Lucie. Fascinant !

Oh-nion ! Pas possible…

Je sais que plusieurs ont déjà parlé de ce phénomène sur la blogosphère, mais je place un billet ici en partie pour quelques uns de mes élèves qui ont découvert cet endroit, afin d’illustrer concrètement par un billet ce que je peux parfois mentionner rapidement en classe…

On a donc trouvé le moyen de recharger un iPod en utilisant un oignon et du Gatorade. On trempe l’oignon, on le ressort de la solution, puis on y branche le cable USB du iPod pendant 15 à 20 minutes pour redonner un peu de vigueur à la batterie du iPod. Il fallait vraiment y penser !

How To Charge An IPod Using Electrolytes And An OnionClick here for more amazing videos

Soirées de bénévoles se suivent, mais…

…ne se ressemblent pas du tout !

Je fais partie d’un organisme, dans une municipalité (qui n’est pas celle où je paie mes taxes…), où on récompense un bénévole par organisme, question de souligner le travail que ces gens font sans relâche, souvent depuis plusieurs années, et ce, bien sûr, tout à fait gratuitement.
L’an dernier, dans l’ordre chrono, nous avions eu droit à un cocktail dînatoire (quelle expression : ça me frappe chaque fois que je l’entends…) aux très (trop, en fait, car il avait fallu aller souper pour vrai après la soirée…) parcimonieuses bouchées d’un goût par contre très exquis. Le tout se déroulait dans une salle à la section principale un peu trop petite, ce qui fait que des gens, dont nous, s’étaient retrouvés dans une deuxième section…
Par la suite, nous nous étions transportés dans l’auditorium de l’endroit, pour la traditionnelle remise des prix aux bénévoles choisis par chacun des organismes. Et enfin, le plat de résistance, un spectacle de l’humoriste-hypnotiseur Messmer, qui nous avait littéralement subjugués, tout en nous faisant régulièrement crouler de rire !
Cette année, la soirée se déroulait au complexe municipal, dans la grande salle du style gymnase : murs de blocs de béton archi-réverbérants, plafond démesurément haut, basses fréquences qui roulent à travers (au sens propre) les quelque 300 personnes présentes. Le goûter était plutôt froid (buffet). Moins de bouchées fines, mais la quantité était au rendez-vous cette fois…
Le spectacle, par contre, était assez pénible. Il eût fallu posséder un taux d’alcool supérieur à l’actuelle limite permise pour probablement apprécier, ou simplement ne pas avoir d’oreille !
Sébastien Gagné se veut humoriste-imitateur. Le spectacle d’une heure était une suite de petits extraits d’imitations chantées, avec une trame sonore qui finissait 95% du temps en fade out. Plutôt navrant. Ça faisait : «Je fais jouer un fichier MIDI, je chante par dessus, et je baisse le volume après un couplet, car il faut passer à autre chose.» Si la fin des trames sonores avait été arrangée pour avoir l’air de finir à cet endroit précis de la “toune”, c’eût été beaucoup mieux. 
Pour les deux ou trois premières lignes des extraits présentés, l’imitateur était assez bon dans l’ensemble, mais pas toujours (Deux fois Elvis de suite, alors que le premier se voulait être Roy Orbison !). Souvent, l’imitation prenait le bord et l’imitateur décrochait avant d’avoir fini son extrait. Pas terrible ! De plus, à peu près toutes les transitions (parlées) entre les extraits tombaient à plat, manquaient de fini, cassaient le rythme constamment. Le rythme en humour, c’est presque l’ingrédient numéro un. 
Bref, je n’ai pas aimé en général, à part peut-être l’imitation de GIlles Vigneault et les notes aigües assez justes (pour un homme encore plus) de Provocante.
Si on veut résumer en paraphrasant presque le protagoniste : 300 livres de viande (il se dit gros lui-même), c’est dur à faire décoller… comme son spectacle ! Bien sûr, la piètre qualité sonore ne peut tout expliquer à elle seule. M. Gagné aura donc beaucoup, beaucoup de travail sur la planche s’il veut mieux réussir sur les planches…