Publicité intensive

François nous parle des opérations marketing des écoles publiques pour contrer la publicité des écoles privées.

Aujourd’hui dans le journal Le Soleil, devant le «supplément publicitaire» de 24 pages (oui, vous avez bien lu : 24 pages!!!), on peut s’interroger sur les coûts d’une telle opération, à moins que Le Soleil ait consenti un rabais, ce qui, dans ma grande naïveté, me surprendrait quand même encore… On peut aussi s’interroger sur la réelle «supposée» égalité des moyens qui n’est qu’utopique dans l’actuel système.

Bien sûr, je m’interroge sur la pertinence de faire de la promotion de l’école (quelle qu’elle soit) une opération marketing, mais l’école publique, devant une telle offensive massive, a-t-elle d’autres choix que de se saisir des mêmes armes que l’«ennemi» ? Je pose simplement la question…

Jusqu'à la fin…

La course au championnat du monde de Formule 1 durera bel et bien jusqu’à la toute fin. En effet, Hamilton n’a pu terminer la course, victime d’un train de pneus qu’on a trop étiré, le tout combiné à une entrée aux puits (pour remédier aux pneus «finis») trop rapide dans les circonstances. Résultat, Hamilton qui reste pris dans les gravillons qui se trouvent tout simplement là, dans l’entrée aux puits de ce circuit de Shanghai…

On aura donc droit, dans deux semaines, à une course à trois, avec Hamilton, Alonso et Raikkonen à 107, 103 et 100 points respectivement en début de course ! Presque nez à nez…

Avec tout ce qu’il a dit de plus ou moins mesquin, dicté par un ego gros comme ça, j’ose espérer qu’Alonso ne gagnera pas. Il ne le mérite tout simplement pas, point final. C’est un excellent pilote, il est vrai, mais c’est aussi un ego très gros qui s’est laissé emporté par ses sentiments personnels cette année.

Quant à Hamilton, dont l’attitude est beaucoup plus humaine, je crois qu’il aura beaucoup appris de sa toute petite erreur aux conséquences énormes d’aujourd’hui. De plus, nous aurons été à même de constater ce qui se dit déjà dans certains commentaires : Hamilton semble user ses pneus plus vite que les autres pilotes. Il faisait jeu égal avec Raikkonen et Alonso dans cette course-ci, et on a pu constater de visu que ses pneus-pluie étaient beaucoup plus usés, et ce, pour diverses raisons possibles : style de pilotage, mais aussi réglages de la voiture…

Alors le rendez-vous ne pourra être manqué pour le GP du Brésil !