Fidel, comme l’appelait “amicalement” Robert Charlebois (voir chanson ci-dessus qui m’est revenu en tête par pur hasard pendant le bulletin de nouvelles hier) est parti. Certains s’en réjouissent, même si, dans les faits, il est parti à toutes fins pratiques depuis environ un an et demi… et même si c’est son frère Raul qui le remplacera pour quelque temps encore, malgré ses 76 ans bien comptés. (Le frérot n’est quand même pas dans sa tendre jeunesse !)
Pour avoir connu des Cubains ayant fui l’île depuis de nombreuses années, je sais pertinemment que Castro n’était vraiment pas apprécié de tous les Cubains, à commencer par sa propre fille (illégitime)…
Alors certains en feront peut-être l’éloge, de ce «régnant pendant un demi-siècle ou presque», d’autres crieront «hourra» pour son départ ! Et d’autres encore resteront indifférents à court terme puisqu’il n’y aura vraisemblablement pas de grands changements d’ici les prochains mois ou les prochaines années…
Pendant tout ce temps, je me demande comment a évolué la pensée de Charlebois… et comment Claude Meunier prend la chose : probablement «à la légère» ! (Citation d’une pub de boisson gazeuse bien connue)