Eh oui, le temps passe, chers lecteurs !
Bébé grandit à vue d’oeil, le congé de paternité est terminé (Je n’ai pas pris les 5 semaines au complet : ça coûte trop cher – je vous dirai un jour pourquoi), le retour au boulot s’est effectué hier lors d’une journée pédagogique de laquelle je suis ressorti la tête grosse «comme ça», tellement il y eut réunions par-dessus réunions (Une n’était pas terminée qu’une autre était déjà commencée : le don d’ubiquité est une utopie réellement… utopique !)
Parallèlement à cela, je vis dans l’immédiateté de Twitter, qui permet un contact avec des gens presque en instantané, qui permet de transmettre des états d’âme en instantané, carrément… et j’essaie de désembourber mon fil RSS 😉 Je n’y arrive évidemment pas 😉 Les lectures s’ajoutent à un rythme plus rapide que celui des moments de lectures possibles pour moi…
J’apprends aussi qu’un lien wi-fi “officieux” a été muselé aussitôt son instigateur parti d’une école, de par l’obsession de la sécurité de nos bonzes maniaque (ou paranoïaques?) de la sécurité, et j’ai nommé nos “sévices” informatiques qui gouvernent nos écoles de leur tour d’ivoire “signée-commanditée(?) Microsoft” à la CS… J’exagère un peu, mais à peine…
Pendant ce temps, on discute ces jours-ci d’évaluationS. J’y mets un S majuscule, car au nombre de ces évaluations, je conclus que nous vivons dans un système hybride qui n’est pas prêt de se transformer, si on croit la ministre de l’éducation et ses désirs d’évaluer les connaissances, comme dans l’temps… Connaissances ET compétences : on évalue tout ça ? Comment et quand va-t-on corriger tout ça, maintenant ? ET, par-dessus tout, comment vont survivre les étudiants qui n’auront peut-être plus le temps d’apprendre véritablement, tellement ils seront occupés par les évaluations… Évaluer est une chose, surévaluer en est une autre…
Là-dessus, il me faut aller corriger ce qui s’est fait en mon absence de l’école…
Et continuer de rêver au moment où je pourrai écrire tous ces billets qui cogitent en moi…
D’autant plus qu’une évaluation de ta répuation de procrastinateur pourrait poinfdre! Bienne non, c’est juste une blague.
Mets-en que le temps passe!
Tu as dû avoir le coeur en miette d,imaginer bébé sans toi toute la journée, non?
L’heure est peut-être aux choix, cher Sylvain! On ne peut pas tout faire en même temps. Le don d’ambiguité ne ne pourra suppléer à l’absence de l’autre bien longtemps!
Enfin, égoïstement, on voudrait bien que tu te dédoubles.
Zed ¦)