Perte de valeur…

Rassurez-vous je n’ai rien perdu.

Mais Fernando Alonso a perdu beaucoup de mon estime en fin de semaine quand il s’est enfoncé d’une très grosse marche vers les tréfonds de la vengeance et de la mauvaise compétition. En retardant Lewis Hamilton aux puits pour l’empêcher de faire un dernier tour de qualif, il a embarqué un très gros pas de plus dans la voie stérile de la vengeance imbécile, dictée uniquement par un ego trop gros, voire trop enflé ! Dommage !

Mais n’allons pas croire que Lewis Hamilton soit exempt de tout blâme, lui qui avait jusqu’ici un parcours absolument parfait en terme d’attitude et presque parfait en terme de résultats (Il accumule les podiums comme on n’a jamais vu auparavant, pour une recrue). Lewis, en fin de semaine, a refusé de respecter l’alternance chez MacLaren-Mercedes qui veut donner chances égales à ses deux poulains. C’est de ce départ pris «de force» par Lewis Hamilton devant Fernando Alonso que ce dernier a voulu se venger, mais d’une façon absolument anti-sportive, complétement indigne d’un champion.

Décidément, la Formule 1, comme bien des milieux où on favorise la compétition (excessive ou non — sportive ou non), comporte son lot de comportements crapuleux qui visent à écarter de très bons éléments.

Heureusement, dans le cas de la F1, la FIA a pénalisé Alonso avec justesse : pénalité qui lui a coûté cher dans la course au championnat. Mais pénaliser aussi l’écurie était inconvenant à mon humble avis : ça n’a rien à voir.

Patio en bois…

Me revoilà après une autre absence. Physiquement, j’étais absent, à l’extérieur, pendant quelques jours.

Par la suite, on a décidé de clancher la préparation du patio qui est dû pour être teint. Mais auparavant, fallait faire quelques réparations et préparer les surfaces par un bon nettoyage, ce qu’on a terminé hier, sous la pluie fine de début d’après-midi…

En additionnant toutes les heures consacrées à la préparation par les trois personnes qui y ont oeuvré, on arrive à la rondelette somme d’environ 35 heures d’ouvrage. Ne reste plus qu’à teindre, mais ce matin, malgré le très beau temps, le bois est encore humide du lavage-frottage de la veille…

Et ici, on ne parle que de patio, comme dans le cas de Christian (Voir ici aussi). Imaginez des travaux de l’ampleur de ceux chez Nathalie et Michel !

Compost : oui (mais)

Ça va faire maintenant un an que nous avons un bac à compost chez nous et, ma fois, c’est très bien ainsi ! La ville de Québec nous en a remboursé la moitié, quelques semaines après l’achat, sur présentation de la facture (Ça aussi, c’est très bien!). Nous pouvons de plus posséder un deuxième bac par résidence familiale, ce dont nous n’avons pas besoin pour l’instant, mais qui pourrait bien devenir nécessaire dans le futur.

Ceci dit, pas assez de gens compostent leurs déchets domestiques, selon moi. Il parait (entendu quelque part, mais pas noté!) que jusqu’à 50% des déchets que nous produisons sont compostables. Depuis l’achat de notre bac à compost, chez moi, nous avons vite constaté une diminution du volume de déchets présents dans le «bac à vidanges». Et en plus, nous avons pu utiliser ce compost dans le potager et dans les plates-bandes, ce qui n’est pas négligeable non plus.

Le petit «mais» entre parenthèses dans le titre, c’est à propos des ours dans la région de Gatineau qui, ces temps-ci, sont de plus en plus aventureux près des résidences. Paraitrait que les bacs à compost sont une DES sources d’attirance possible…

Le cyclisme d'élite, un sport ?

Avec les «nouvelles» (Voir 1, 2 et 3) qui tombent à la volée ces jours-ci à propos du Tour de France (J’ai failli écrire, grâce à une faute de frappe, Trou de France, c’est tout dire – un lapsus des doigts, donc digital, vous connaissez ?), avec toutes ces nouvelles, donc, on peut se poser la question à savoir si le cyclisme d’élite n’est pas devenu un concours de celui qui offrira la meilleure performance à l’aide de substances (ou drogues, pour dire le vrai nom), et ce, sans se faire prendre.

Je jonglais à cela ce matin en écoutant les nouvelles, bien tranquillement assis, quand, un peu plus tard, je tombe sur ce billet de Mario Asselin.

Récemment, à St-Félicien, on jasait du phénomène du dopage dans le cyclisme probablement très présent chez les élites qu’on avait devant nos yeux ce jour-là, pendant la Coupe du Monde de Cross Country, vélo de montagne.

Ça commence subtilement : on commence par prendre des suppléments alimentaires, tout ce qu’il y a de plus naturel, enfin presque. Puis vient le temps où, si on a monté les échelons, on est rendu au niveau où l’argent, le gros (le vrai ?) se brasse beaucoup plus, avec les inévitables passe-passes politiques qui accompagne le tout… Et avec ce niveau, viennent les drogues et alors on parle de dopage.

Quelle est la différence entre des suppléments augmentant la performance et les drogues condamnables ? C’est la question que je me pose tout en ayant une petite idée de la réponse. Mais il n’empêche que le principe demeure : on cherche une meilleure performance en absorbant certaines substances. Où est la frontière entre le légal et l’illégal, entre l’admis et l’inadmissible ? Pensez-y en prenant votre café, le matin, en commençant votre journée de travail…

Et n’allons pas croire que le cyclisme a l’exclusivité de la drogue dans les sports, loin s’en faut. L’Olympisme en général est pas mal éloigné de son idéal. Et je ne parle même pas des mécanismes de sélection (ou prostitution) des villes olympiques…

Voilà, c'est fait !

Comme je l’avais déjà dit il y a quelques mois, nous avons bel et bien ajouté à notre État des routes, l’État des infrastructures au Québec (Fichier PDF).

Cette liste des 135 viaducs, à laquelle s’ajouteront les structures dites municipales, représente ce que bien des Québécois craignaient dès octobre 2006, à la suite de l’effondrement du viaduc de la Concorde. Ces “détours forcés” vont passablement compliquer pour un temps l’industrie du transport routier. Favorisera-t-on (enfin) le développement du transport par train, ce qui détruirait beaucoup vite nos structures routières ?… Mais on a tellement négligé les infrastructures ferroviaires (elles aussi) qu’il y a là du travail à faire si on veut augmenter l’utilisation de ce moyen de transport…

Parallèlement à cela, je jasais hier avec un des nombreux entrepreneurs qui travaillent à l’Autoroute des Bleuets (route 175, parc des Laurentides) qui me confiait ses craintes à l’effet que, vu les récentes remises en question des appels d’offres concernant certains tronçons de cette autoroute en construction, il se pourrait que les reports prévus s’allongent encore, mais cette fois au profit de la réfection de certaines infrastructures (ponts et viaducs) récemment déclarées dangereuses ou à risque (plus ou moins élevé). Bref, un ou deux dossiers à suivre !