400 ans… et des poussières… qui retombent…

Billet du 31 décembre écrit dans le cadre de 400 ans 400 blogues

Québec… (et ses environs-banlieues-villes-fusionnées-plus-ou-moins-de-force-etc.)
Québec, ma ville depuis 1985 !

Québec, qui a fêté ses 400 ans cette année !

Le 400e de Québec : festivités où j’ai peu participé (aux grand événements, s’entend) au sens où on l’entend habituellement. Festivités auxquelles j’ai participé au sens inhabituel, par contre : le 15 juillet, j’accompagnais (avec des potes musiciens) un groupe vocal qui se produisait à Espace 400e, sur la scène des Grands Jardins, par un beau soir calme et ensoleillé tout juste à temps (le reste de la journée, comme le reste de l’été avait été gris et un peu humidifiant).

Québec célébrera ce soir la clôture de ses 400 ans. Je serai chez moi, quelque part en banlieue nord (encore un autre (nous sommes quelques uns, je crois) qui écrit à partir du nord un billet plutôt “froid” à propos du 400e), chez moi avec toute ma famille à célébrer 2008 qui s’en va et 2009 qui arrive. Un jour de plus, une heure de plus… Je célébrerai l’immédiateté dans laquelle vit mon poupon. Pour lui, le temps n’existe pas encore : il y a le jour, la nuit, la faim, la couche pleine, l’envie de dormir ou celle, au matin, vers 7h05 pile, de NE PLUS dormir 😉

J’ai mis longtemps à mettre en mots l’impression de ne pas faire partie complètement de ce 400e de Québec, malgré ma participation à un de ses spectacles. Et ce matin, j’ai compris, grâce à celle qui se fait appeler “La fêlée” dans son billet… Je n’aurais su trouver mieux. Tout se passait au Centre ville de Québec. Je n’ai rien contre, mais il n’y avait pas cette fébrilité dans les “autres quartiers” de la ville. Et pourtant, la portion de banlieue où j’habite a été fusionnée au début des années 1970, ça n’a rien donc à voir avec les fusions récentes (?). Les banlieues sont considérées comme des villes-dortoirs, tout se passe au centre. Ce “centrisme” n’est pas nouveau : il existe à d’autres échelles. Montréal est le “centre” du Québec. Paris est le “centre” de la France. On pourrait continuer comme ça très longtemps. Disons simplement que ce réflexe-centrisme doit être une caractéristique propre à l’humain ou une caractéristique humaine…

Une autre chose que dénonce La fêlée et à laquelle j’adhère complètement est cette couverture journalistique parfois déficiente qui s’attarde sur des détails insignifiants par rapport à l’événement lui-même. J’ajouterais à son billet le fait que les journalistes aient condamné le 400e avant que la Fête n’éclose pour de bon. Comme journalisme, ça faisait amateur, “p’tit village” et ça n’aidait pas les gens à se sentir “dedans”. Mais, diront certains d’entre eux, ce commentaire ne vient que d’un petit blogueur (petit et blogueur étant un pléonasme pour certains d’entre eux), alors il ne vaut pas grand’chose… (Autre débat inutilement polarisé qu’il vaut mieux ne pas poursuivre selon moi).

Mis à part ce phénomène, que me reste-t-il du 400e ? Assurément le merveilleux Moulin à images de Robert Lepage, dont j’ai déjà parlé ici, qui est une oeuvre colossale qui valait absolument le détour (J’y ai amené ma visite estivale chaque fois). Pour moi, c’est THE événement du 400e ! Et je suis heureux qu’il se poursuive, même sous une forme différente, en 2009.

Maintenant ? Il faut que ma ville (au grand complet cette fois !) conserve (et/ou étende) ce dynamisme afin de continuer de se former une identité digne de son époque. Que l’on devienne pionniers, en cette époque numérique ! Que Québec devienne une ville où tous les êtres pensants puissent s’exprimer d’abord et bâtir ensuite, car la parole sans l’action n’est que verbillage à mon avis. Il faut agir maintenant et bâtir ! Nous avons célébré (peu ou plus que ça), il nous faut maintenant continuer de bâtir.

(Moi qui pensais avoir peu à dire, voilà que mon billet est presque rivière. Fleuve eût été exagéré ici ;-))

Rétrospective 2008

Après d’autres, à mon tour de faire ma petite rétrospective 2008 😉
(Petite, la rétrospective ? À voir la longueur du texte que je viens de pondre d’un trait, je me dis que mes lecteurs devront être courageux ;-))

1-Au plan personnel :
tout d’abord, en numéro 1, ce fut de “voir” Alexis se préparer à naître qui a été l’événement principal dépassant largement tous les autres. Dans ma vie, ça tombait à un moment absolument idéal, venant ainsi replacer certaines priorités que j’avais mises ailleurs pendant quelques années… Disons simplement que ça aide à relativiser certains efforts qu’on met parfois dans des domaines, disons professionnels, et ce, avec une certaine démesure, ou une démesure certaine, par rapport avec ce que ça peut nous rapporter (ou ne pas nous rapporter…)

2-Au plan professionnel 1 : éducation d’abord :
après avoir poursuivi la (très lente) digestion d’un événement désagréable (qui pouvait être vu comme une démotion (St-Angliscisme, priez pour nous) par mon employeur, à cause de l’actuel système où des castes semblent parfois ressortir encore entre les programmes d’enseignement), j’ai continué mes nombreuses lectures (web très principalement), histoire de mieux reculer pour mieux re-sauter…

Je me suis instruit et j’ai participé à une “définition collective” de ce que peut être l’Éducation 2.0 dans ce monde de plus en plus Web 2.0, peu importe ce qu’on puisse dire de l’expression “2.0”… De par mon implication (énormément sporadique, à mon grand désespoir, depuis octobre dernier, pour des raisons évoquées en 1) dans le réseau Apprendre 2.0, j’ai commencé à dégager certains points essentiels (et généralement très manquants) nécessaires à notre système d’éducation, afin qu’il puisse franchir le fossé qui continue de se creuser entre le numérique et l’école archaïque, comme je pourrais la nommer, si elle s’entête à rester figée dans le temps comme elle le fait trop souvent présentement.

Ce fossé, à mon avis, s’il continue de se creuser, va contribuer à polariser les positions et à paralyser tout espoir d’avancement ou d’évolution, si lente soit-elle dans une société qui, elle, évolue de plus en plus à la vitesse Grand V, voire exponentielle. La polarisation extrême, dans un débat, contribue généralement à le rendre complètement stérile… Par exemple, une polarisation entre les obsédés de la sécurité informatique (qui possèdent des arguments sommes toutes légitimes, mais enfermés dans une logique castrante ou paralysante qui finit par plus nuire qu’aider) et les innovateurs pédagogiques qui veulent un outil à leur service au lieu d’être au service d’outils limitatifs, brimants et contre-productifs, cette polarisation, donc, va finir par tuer toute exploitation des TIC en éducation. Triste constat. Va donc falloir innover hors système, hors cadre (hors cadres, quand ces cadres encadrent trop : trop de cadre et on ne voit plus l’oeuvre ai-je déjà dit ici), hors les heures d’ouverture (les syndicats ici ne seront d’aucun secours, enfermés qu’ils sont dans une époque où seul le papier existait, époque pré-web, ou web 0.0 ou -100 — Le fax est un outil innovateur pour eux, si je caricature à peine)… Une innovation qu’il faudra payer cher, du prix de notre vie autre que professionnelle, allant ainsi dans le sens contraire de ce que j’évoquais en 1. Je n’en suis pas à un paradoxe près 😉

On se servira sans aucun doute de la Crise économique au dos très large qui ira s’élargissant, pour nous foutre un paquet de coupures dans les pattes alors que l’investissement technologique pourrait aider grandement à économiser ailleurs dans de vieilles façons de faire qui coûtent une fortune.

Bref, pas grand optimisme ici, sinon les trucs hors cadre comme celui essayé récemment et les espoirs que j’entretiens encore via Apprendre 2.0 ou autres initiatives semblables.

Pour ce qui est des autres débats, disons qu’on n’a rien compris de la réforme (ou si peu), peu importe le nom qu’on lui donne. Chacun continue de faire à peu près à sa tête et on essaie encore d’uniformiser à outrance en ne tenant pas compte des particularités de chacun. Tant qu’à faire des programmes particuliers en éducation, on aurait dû continuer quelques “coches” de plus et viser plus loin pour ce qui est de l’individuation des apprentissages. Au lieu de ça, on est encore pris dans un système d’évaluation normative voire uniformisante qui engendre encore plus d’évaluations dites sommatives, au nom d’un système qui tente de rester hybride et de ne pas compléter sa mutation (ou adaptation) ou d’empiler les façons de faire, créant ainsi un presque-monstre… (Faut que je revienne là-dessus plus en détails… un jour – rappelez-le-moi quelqu’un ;-))

3-Au plan professionnel 2 : la musique… :
j’ai manqué de temps, d’énormément de temps, pour faire tout ce que j’aurais voulu… Le reste, ça devra attendre la retraite dans environ 20 ans 😉 Mais pour le reste, de ce que j’ai pu faire, ça a été relativement chargé avec le groupe vocal. On a pu jouer à Espace 400e, un soir de superbe beau temps de juillet dernier. Et on a fait un show avec un “vieil” artiste qui a quitté la scène depuis environ 20 ans, Jacques Michel (voir ici aussi), mais en qui j’ai découvert un être profondément humain, simple, avec qui il fait bon parler des heures et des heures et qui, musicalement, rend le travail très intéressant. On a eu du plaisir en travaillant et ça, c’est mon leitmotiv éternel – billet à venir, un jour, promis ! 🙂

4-Au plan Web 2.0 :
-à part en éducation, où la stagnation et même le recul sont rois, ou presque – au nom de l’inertie des gros systèmes, j’ai découvert Twitter, outil ludique parfois pratique, souvent intéressant, mais qui peut s’avérer un gouffre de time consuming s’il n’est pas géré serré et si on ne limite pas la taille de sa Twittosphère

-les suites de la web-non-conférence Vers l’Éducation 2.0 du 15 septembre 2007 ont donc continué de se manifester. J’ai continué la construction de mon réseau, qui unit à la fois des gens de l’Éducation et d’autres milieux. À l’image de ce blogue, je ne tiens pas à faire de catégories, préférant demeurer libre de toutes entraves idéologiques ou catégorisantes et préférant continuer de m’éclater dans ce Web dont je fais partie comme vous tous qui me lisez régulièrement ou à l’occasion.

5-Le reste :
pour le reste, j’ai lu hier la rétrospective humoristique de Stéphane Laporte, pendant laquelle lecture j’ai bien rigolé et qui résume tout ce dont j’aurais pu parler ici et dont je ne parlerai finalement pas, faute de temps et parce que ce sont des sujets maintes fois abordés ici ou ailleurs… et aussi dont nous entendrons peut-être parler dans le Bye-Bye ou autre show annuel de rétrospective !

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Sur ce, à très bientôt pour mon billet du 31 décembre dans le cadre de 400 ans, 400 blogues.

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MISE À JOUR : 30 décembre 2008 – 7h52 :

À lire ce billet de Mario Asselin, je me dis qu’il nous faut continuer de développer avec ce qu’on a et de faire ce qu’on peut… un jour à la fois, une chose à la fois, avec une personne à la fois. Beau contrat pour 2009… et les années suivantes 🙂

Meilleurs voeux ( Fêtes 2008-2009)

C’est le temps des Fêtes qui arrive, peu importe le nom qu’on puisse leur donner à ces fêtes !

Alors cette année encore, j’ai concocté une petite carte maison (Bricolage Photoshop amateur vite fait, faute de temps ;-)) et je vous la partage tout simplement en vous souhaitant mes meilleurs voeux pour Noël et la nouvelle année, 2009, qui commence !

  • Que ceux qui ont besoin de repos puissent se reposer !
  • Que ceux qui souhaitent avoir du plaisir en aient !
  • Que ceux qui aiment bien manger et boire du bon vin puissent se régaler et déguster à souhait !
  • Que ceux qui mangeront un p’tit peu trop puissent ne pas prendre de poids (comme moi , ahahah!) – Là, j’suis un peu baveux, mais je l’assume !
  • Que ceux qui veulent avoir tout ça (le genre de personne qui cochait “Toutes ces réponses sont bonnes” dans les temps anciens des “choix multiples”) puissent en bénéficier, c’est le temps des Fêtes après tout !


Alors Joyeuses Fêtes à tous mes lecteurs et soyez heureux 🙂

Pense vite ! (en situation de concert)

Anecdote authentique, survenue dimanche soir dernier, pendant un concert de Noël où j’accompagnais, au piano (clavier) et à l’orgue (à tuyaux) un choeur, le temps de quelques chansons de Noël, bien sûr !

Dernière pièce de la première partie. Le 3e “couplet” est chanté a cappella. J’arrête donc de jouer au bon endroit, comme prévu… et je dois reprendre un petit interlude avant le 4e “couplet”.

Sauf que… la première phrase du 3e “couplet” (a cappella) n’était même pas rendue à la moitié que “tssssioumm”, les lumières de mon clavier s’éteignirent soudainement, de même que mon module de son, mon mixeur, mon ampli de moniteur… et, par absence du bruit de fond, je m’aperçus aussi assez rapidement que les amplis du système de sono, situés quelques pieds derrière moi, ne fonctionnaient plus eux non plus.

Je vis alors le technicien de son arrivé en trombe, regarder partout, cherchant le problème. On savait déjà tous deux à ce moment qu’un disjoncteur avait lâché, mais lequel…

Le 3e “couplet achève”. Étrangement zen, je me dis que le choeur va pouvoir continuer. Coup d’oeil rapide à ma partition: HORREUR (mais aucune panique – il ne me reste après tout qu’une demi-seconde de temps de réaction, maximum) ! Il y a un autre petit interlude d’à peine deux mesures dont la première se superpose à la finale du 3e “couplet” des choristes. Je regarde les notes: c’est trop haut pour être turluté… Alors sifflons-les, ces notes. Doucement. Délicatement. En déposant la finale. Dans le style du truc (un arrangement de John Rutter)…

Les choristes me regardent d’un drôle d’air. Je ne les vois même pas, seul dans ma bulle à tenter de combler le vide le plus musicalement possible. Pendant ce temps, la chef de choeur comprend la situation et espère que les choristes vont partir à temps pour le 4e “couplet”, une fois l’effet de surprise passé.

Le 4e “couplet” se déroule très bien, dans cet a cappella imprévu. La finale ne détonne même pas (oreille absolue à l’appui !)

La foule (témoignages à l’appui, aussi) n’y a vu que du feu. Même le violoniste, en coulisse puisqu’il ne jouait pas dans cette pièce, a trouvé l’arrangement particulièrement original, sur le coup. Je lui répondis que c’était tellement “original” qu’il ne l’entendra jamais une autre fois… même pas sur l’enregistrement maison du concert, sur mon portable, puisqu’il était branché dans la console de son et que celle-ci a forcément réduit à néant le signal qu’elle envoyait à mon ordi… Dommage. Ça aurait fait un bon souvenir autre que ce simple texte 🙂

Note: tout ça me rappelle un truc déjà lu sur papier et dont je ne retrouve pas la référence sur le web (devrai-je le transcrire si je retrouve la feuille ?) qui parle du métier de musicien en concert: c’est le métier qui “oblige” un cerveau au plus grand nombre d’opérations par seconde, toutes catégories confondues. J’l’ai toujours dit: la musique, c’est excellent pour un cerveau humain !

Expérience de vidéoconférence internationale

Il y a quelque temps, je (Je désigne ici Sylvain, puisque j’écris ce texte dans mon blogue ;-)) rencontrais Elizabeth Vitanza sur Apprendre 2.0. En fait, en septembre dernier, elle cherchait une classe francophone avec laquelle elle pourrait organiser une vidéoconférence avec ses élèves américaines (À Los Angeles) qui apprennent le français et qui en sont, pour la plupart aux premiers balbutiements.

Généreux par nature, j’offre la possibilité de faire éventuellement cette activité… [Elizabeth ajoute ici : «oui, vachement généreux, je dirais…»] (Merci Elizabeth ;-))

Quelques échanges de courriel et un ou deux tests Skype plus tard, le tout a fini par se concrétiser début décembre où, avec chacun un ordinateur, un projecteur et une paire de haut-parleurs, nous avons procédé à une vidéoconférence sur Skype.

D’abord, techniquement, avec chacun un groupe d’environ 15 élèves, il n’est pas facile de les faire parler un seul à la fois, si on veut éviter les coupures de son inhérentes à la vidéoconférence à plusieurs intervenants simultanément. La fébrilité et l’excitation des élèves était très palpable !

Les filles de la classe d’Elizabeth, timides au début devant les garçons qui composent en partie les groupes de Sylvain, ont parlé deux par deux en posant des questions simples aux élèves de Sylvain. Elles ont bien utilisé le vocabulaire qu’elles viennent d’étudier. (Qu’est-ce que vous aimez faire le week-end? Quels sont vos films favoris?, etc.) Mais cette fois-ci, c’était avec des compères plus authentiques (pas leur prof américaine) et elles se trouvaient pour la prémière fois dans le monde francophone en tant que personnes devant prendre la parole.

Alors pour une première, les échanges ont été assez limités, mais malgré ces embûches, je réalise que les élèves (les miens surtout, puisque j’étais à côté) ont fait quelques apprentissages déjà au premier essai.

D’abord s’ouvrir sur le monde n’a pas de prix. Apprendre à respecter chacun est encore plus nécessaire quand la technique empêche littéralement les gens de parler en même temps. Plusieurs de mes élèves en étaient à leur première vidéoconférence et certains ne réalisaient pas que leurs réflexions occasionnelles “passées” en aparté pouvaient être entendues quand même à l’autre bout, même si 4835 km nous séparent (selon GoogleMap !)

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Agrandir le plan

C’était aussi agréable de voir les yeux des élèves briller d’excitation. Quelques uns de mes élèves ont aussi essayé, parfois maladroitement, de poser une ou deux questions en anglais (je sais que c’est une classe de français que j’ai, mais on peut parfois dépasser un peu les frontières et les oeillères, non? 😉
Les filles filles d’Elizabeth lui demandent depuis, chaque jour, quand on aura l’occasion de faire une autre cidéoconférence et si on peut avoir des ‘pen pals‘ par courriel. Elizabeth ajoute ceci: «Le chat a réussi là où je ne peux jamais, étant adulte et pas jeune–mes élèves se rendent compte qu’il y a vraiment des adolescents qui parlent le français qu’elles étudient.»

Depuis ce moment, Elizabeth et moi essayons de fixer une autre vidéoconférence, avec chacun un autre groupe de nos élèves, du même groupe d’âge. Finalement, ça devrait se concrétiser en janvier. On a aussi quelques autres projets, dont peut-être une plateforme Ning pour favoriser les échanges entre ces deux communautés d’élèves… À voir…

Bref, il est intéressant de créer et d’innover. Je remercie Elizabeth pour l’idée de départ grâce à laquelle on va faire un bout de chemin avec nos groupes d’élèves.

NOTE : ce billet a été écrit en collaboration avec Elizabeth Vitanza.