Rencontre nationale des gestionnaires en éducation… et Twitter

Cette semaine, se tenait la Rencontre nationale des gestionnaires en éducation du MELS (ministère de l’éducation au Québec), portant sur l’intégration des TIC en éducation au Québec. (Le site de la Rencontre nationale étant protégé par mot de passe, voici un lien vers le site où sont regroupées quelques diaporamas Slideshare utilisés…)

Cynthia Ouellette (@recitpi sur Twitter) a eu la brillante idée de rendre accessibles plusieurs sujets abordés lors de cette rencontre, plusieurs vidéos présentées aussi, en ouvrant le “canal” Twitter #TICqc où nous avons pu partager nos idées, nos projets, nos opinions, notre expertise, etc. Bref, où on a pu participer.

Il est évident que tous sur place n’avaient pas de compte Twitter, mais au moins certains écrits publiés lors de l’évènement ont pu ou pourront être lus et peuvent ainsi permettre à la réflexion (et l’action) de se poursuivre…

Fort de mes expériences de compilation de tweets depuis 2009, j’ai pris sur moi de monter un fichier regroupant tous les tweets publiés avec le mot-clé #TICqc lors de l’évènement.

Voici donc cette compilation en format PDF et TXT (texte seul), le PDF étant plus lourd (4,63 Mo ici), car il inclut les “avatars” (visages, pour la plupart) des participants via Twitter. Quant au fichier TXT, il permet, sans être lourd (338 Ko), d’effectuer des recherches par mots-clés plus rapidement.

Le fichier PDF est ici.

Le fichier TXT est ici.

Les cellulaires à l’école… et quoi encore ?

Ce billet se veut la suite du précédent, dans lequel il est question de la discussion que j’ai menée avec mes élèves au sujet des cellulaires à l’école.

Mise en contexte : le vendredi 2 mars 2012, à la suite d’une invitation de la recherchiste de l’émission Maisonneuve en direct, Gabrielle Cimon, à me joindre au débat ressorti ce jour-là par le texte de Chantal Potvin, une enseignante désespérée par la prolifération des cellulaires dans notre société, particulièrement à l’école, j’ai finalement décidé de mener une discussion avec le groupe d’élève avec lequel j’avais un cours lors de cette période-là et de faire parvenir les propos des élèves à madame Cimon par courriel, vu que je ne pouvais être présent par téléphone pendant l’émission. Des phrases de mes élèves ont été lues en direct. On retrouve l’intégralité du texte des élèves et le mien dans le billet précédent.

De plus, le 22 mars dernier, je prenais connaissance d’un autre texte où il est encore question d’enseignants frustrés par la prolifération du cellulaire… Soupirs ! Et je ne parle pas du désormais “célèbre” pourrisseur du web qui nous fait part de ses pièges aux élèves ici et qui fait réagir grandement (1, 2, 3, 4 (compilation de réactions), 5, 6, etc.)

Maintenant, voici mon opinion sur le sujet des cellulaires et des technologies en général à l’école.

Comme l’électricité au 20e siècle a apporté une accélération formidable de la vie quotidienne en général, les technologies d’aujourd’hui (particulièrement les réseaux sociaux) apportent une formidable amplification des comportements (disait André Caron à l’émission Maisonneuve en direct du 2 mars), les bons comme les mauvais (ajouté-je). Il faut donc éduquer à cette amplification et aux comportements socialement reconnus comme bons et mauvais, comme toute société de chaque époque a toujours dû éduquer ses jeunes (et moins jeunes qui s’égarent parfois!). Donc aujourd’hui, il faut éduquer au numérique, ET ÇA PRESSE !…

Personne aujourd’hui ne voudrait abolir l’électricité, cela semble être une évidence, sauf peut-être pour quelques groupes marginaux désirant vivre en … marge de la société, justement. Probablement que personne demain ne voudra abolir les cellulaires non plus, ou les autres appareils mobiles. Nous sommes toujours dans une époque transitoire par rapport aux technologies qui émergent… Il est donc normal, pour un temps, de retrouver ce genre d’attitudes ou de comportements de la part des gens qui disent que «c’était bien mieux avant, dans l’ancien temps, etc.» (L’école a aussi vécu ça avec l’arrivée de l’ardoise, du style à bille, des transparents (acétates), de la vidéo, etc.) Mais ce genre de “raisonnement” ne peut faire qu’un temps, car la roue continue de tourner, la société d’avancer, et il faut bien finir un jour par prendre le taureau par les cornes, sinon nous aurons perdu énormément de temps et d’énergie à résister au changement qui finit par s’imposer de toute façon. Alors autant consacrer nos énergies tout de suite à définir ensemble ce qu’on veut faire des outils avant qu’on nous impose des usages, etc. Soyons pro-actifs !

(Évidemment, à propos de l’électricité ou autre inventions, je ne fais que déduire certaines choses ici, car je suis trop jeune pour me rappeler l’apparition du téléphone “ordinaire” ou l’avènement de l’électricité, cette chose étrange qui apportait avec elle bien des nouveaux appareils facilitant la vie quotidienne, etc. Suscitant parfois la crainte comme lors de l’apparition de l’automobile, etc.)

On peut poser la question autrement : peut-on vivre sans cellulaire ? Certains diront oui, pour encore un certain temps… On pourrait aussi se demander si on peut vivre sans électricité. Personne de sensé aujourd’hui, en 2012, pourrait dire oui. En même temps, comme je le disais ci-dessus, bien sûr qu’on peut vivre (ou survivre) sans électricité : la preuve, lors de pannes électriques, notre coeur continue de battre et on sort le petit poêle au butane ou son barbecue pour se faire un café 😉 ! Mais ce n’est pas ce que j’appelle vivre sans électricité de façon continue ou durable.

De plus, si on continue de pousser le raisonnement, on pourrait même se demander si on peut vivre sans agriculture ou sans élevage et ne survivre que de chasse, de pêche et de cueillette de fruits sauvages… comme il y a des milliers d’années. (OK, je l’admets, ça me tentait de charrier un tout petit peu, mais il y a quand même une partie potable à ce raisonnement poussé dans ses derniers retranchements 😉

Rendu à cette limite, on se fera vite accuser d’utiliser un raisonnement tordu, que pour les cellulaires, ce n’est pas pareil, etc. Ce à quoi j’ai immédiatement envie de répondre : «Ah oui ? Ah bon !»

Je trouve personnellement que chaque époque apporte ses améliorations, ses innovations… et ses problèmes aussi, bien sûr. Jouer à l’autruche n’aidera en rien, d’un côté comme de l’autre… Je ne me souviens pas avoir vu une société entière renier son époque ou les technologies de son époque au point d’en bannir l’usage au grand complet. (Si cela s’est produit et que vous avez un exemple, dites-le-moi et je vous en remercierai.) Alors, me dis-je, autant faire avec et éduquer à un bon emploi de ces technologies, et ce, le plus rapidement possible afin, justement, d’éviter un trop grand nombre de dérives !

Pour ce qui est de l’école, je dis simplement ceci : une école qui nie l’existence des technologies, c’est une école hors de la société, mais qui souhaite pourtant éduquer les jeunes à la vie dans cette même société. Paradoxal, non ? De plus, l’école n’est plus ce sacro-saint sanctuaire du savoir, lieu exclusif où l’on s’abreuvait de connaissances… Oui, les profs ont encore des connaissances (je l’espère !), mais ils n’en ont plus le monopole. Peut-être que c’est vu comme une perte de pouvoir par certains et, comme toutes les pertes de pouvoirs, ça fait peur. Mais on pourrait aussi, comme enseignants, se demander sur quoi avons-nous encore du pouvoir et s’en servir, pour le bien de nos élèves (ne jamais l’oublier). Je crois sincèrement que nous avons du pouvoir sur les changements, que nous pouvons faire une différence si on sait saisir les opportunités. Mais pour cela, il faut être éveillé… et veiller, de cette veille active, sur le web et ailleurs.

Donc, les enseignants (tous) ont la responsabilité, dans cette société en évolution constante, de former les jeunes à un usage intelligent des TIC et de leur faire développer, en collaboration avec tous les acteurs (*), les compétences nécessaires pour ce faire. Pour éduquer aux technologies, on n’a pas à tout connaitre des détails techniques de ces outils technologiques, mais on a à repenser la pédagogie (et l’évaluation) en lien avec l’utilisation de ces technologies qui changent les façons de faire, les façons de créer du contenu, les façons d’interagir dans la société en général, etc.

(*) Les acteurs autres que les enseignants sont tous les secteurs reliés à l’enseignement, entre autres les services informatiques, qui doivent être au service (le mot le dit, non ?) de la pédagogie, qui doivent s’asseoir avec les pédagogues afin de répondre aux besoins (parfois criants dans certaines commissions scolaires), qui doivent être au centre d’un climat de collaboration, et non dans une tour d’ivoire obsédée par la sécurité uniquement comme on voit à certains endroits. Pour éduquer les jeunes, il faut un réseau ouvert, connecté au réel, et non un vase clos avec des murs ou des filtres à outrance. Et ça, les services informatiques commencent à le comprendre à certains endroits, selon moi.

 

En terminant, quelques objections en lien avec certains arguments souvent utilisés :

Les dépendances :

-Des esclaves de la télé, ça existe. Des esclaves de n’importe quelle technologie, ça existe. Il faut donc contrer ces esclavages, les prévenir le plus possible, tout en étant conscient des avantages des technologies.

L’enseignement vs les apprentissages :

-On entend trop souvent : «Mais on est dans un milieu d’enseignement». Ce à quoi je réponds : «Eh oui ! Et on n’est pas dans un milieu d’apprentissage et/ou de réussite…?» Qu’est-ce qui est le plus important ? Une fois que nous aurons répondu à cette question, on pourra avancer.

 

Bref, selon moi, OUVERTURE ET ÉDUCATION, plutôt qu’interdiction et censure.

 

P.S.: Il faut de plus être conscient que, de plus en plus, le sensationnalisme médiatique fausse (à divers degrés selon les situations) le débat plus souvent qu’à son tour. En effet, de plus en plus de médias, soucieux de leurs cotes d’écoute avant toute chose, tombent dans ce sensationnalisme qui se répand trop souvent comme une trainée de poudre, rognant chaque jour un peu plus d’objectivité à l’information pure. Évidemment, aucun de ces concepts n’existe à l’état pur à 100% dans la nature (humaine). L’information comme l’opinion et le sensationnalisme se partagent toujours un évènement comme des gens se partagent une tarte. Reste juste à savoir qui réussit à s’emparer de la plus grosse portion. Et ça, ça ferait tout un… débat 🙂 !!!

C’est un peu comme les politiciens qui vivent un peu trop d’après les sondages et les cotes, eux aussi… Trop souvent.

 

Mes élèves à Maisonneuve en direct

C’était un vendredi, celui à la fin duquel débutait la relâche scolaire, soit le 2 mars 2012.

Dans les journaux (La Presse et Le Devoir), une petite bombe : la lettre d’opinion (on ne peut surtout pas appeler ça une argumentation!) de Chantal Potvin, une enseignante de 5e secondaire, qui vise ni plus ni moins que de sortir les cellulaires des écoles au grand complet, sinon de la société tout entière (dixit LeProfMasqué dans ce billet).

C’était le sujet du jour à l’émission de radio Maisonneuve en direct, sur la Première chaine de Radio-Canada. Une recherchiste de l’émission, Gabrielle Cimon, me contacte sur Twitter, me demandant de téléphoner à l’émission… Ça me tentait, vous avez pas idée comment ! Mais j’étais dans l’impossibilité totale de pouvoir le faire pendant l’émission.

Gabrielle me donne alors le lien vers le site web de l’émission, afin que j’aille écrire directement sur le site ce que je voudrais dire à l’émission. Et là, les embuches commencent : le site est tout sauf convivial, il faut s’inscrire (OK, passe encore, les gens de la SRC veulent former des communautés, me dit-on… Voir Note 1), et recevoir une validation par courriel qui, 3 semaines plus tard, n’est toujours pas entrée :-((( Cha-peau ! (ironie)

Alors devant mes embuches, Gabrielle Cimon finit par me donner son adresse courriel directement. (Décidément, on voulait donc que je prenne la parole ;-)) Et là, l’idée surgit. Pendant le cours (car à force de combattre les embuches webesques radiocanadiennes, le temps avait passé, mon cours avait été démarré, j’avais mis mes élèves au travail… et je répondais à leurs questions). J’ai décidé, comme ça, de réserver les 15 dernières minutes de la période pour mener une discussion avec les élèves sur le sujet, après leur avoir fait lire le texte de madame Potvin. Quelle belle occasion de mettre en pratique les compétences de la communication orale dans une discussion collective 🙂 !

Lors de chacune des interventions des élèves, j’écrivais dans le courriel à être envoyé, le tout projeté à l’écran de ma toile de vinyle (non, je n’ai pas de TBI : pas besoin de ça pour intégrer efficacement les technologies, même si l’outil peut être plaisant à utiliser! N’en déplaise à M. Charest qui aime jeter de la poudre aux yeux). Si ce n’avait été du besoin d’être ultra-rapide, j’aurais fait écrire les élèves un par un, mais les moyens manquaient pour être aussi rapide !

Et voilà que les commentaires des 5 premiers élèves passèrent pendant l’émission. Je n’ai pas pu écouter tout de suite, mais un collègue qui l’a fait s’est empressé de faire un petit fichier audio avec le tout et m’a envoyé cela pendant la semaine de relâche. J’ai beaucoup apprécié cette attention. Par la suite, évidemment, j’ai écouté tout le contenu de l’émission auquel j’ai encore une fois essayé de réagir sur le site web de l’émission, mais toujours sans succès à cause de l’inscription non validée, etc. Voilà pourquoi je reproduis ici tout le contenu du courriel envoyé à la recherchiste. Rien n’a été modifié, je veux garder la présentation telle quelle : le tout a été rédigé dans des conditions où seule la rapidité et l’efficacité comptaient.

On peut écouter l’émission ici au complet.

Le passage où il est question de mes élèves se retrouve de 21:38 à 23:20.

Je réserve pour un prochain billet (Lien à venir) l’ensemble de mes réactions à ce qui s’est dit pendant cette émission. Au plaisir de lire vos commentaires 🙂

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LE COURRIEL RÉDIGÉ EN DIRECT, pendant la discussion.

Bonjour, voici le petit compte rendu (en direct) d’une petite discussion avec mes élèves.

Des élèves me mentionnent :

-Philippe P : -il y a nettement exagération, généralisation, etc. Ces comportements existent, mais sont loin d’être présents chez la majorité des élèves…

-Cassandra : -intimidation, vente de drogue, etc. Tout ça existait AVANT les cellulaires. La plupart des textos sont échangés entre AMIS, puisqu’il faut leur numéro de téléphone pour leur envoyer un texto.

-Éli : -J’ai mon cellulaire en classe, mais en cas d’urgence. Je ne m’en sers pas sinon.

-Charlie : -La situation dépeinte par Chantal Potvin est nettement exagérée. Avec ou sans le cellulaire, il y a du plagiat, du décrochage, etc. Texter pendant un cours ou parler ou s’envoyer un petit papier… même chose.

-Olivier : -empêcher le cellulaire ? Alors que certaines écoles implantent les technologies, les outils, dans les écoles pour aider les apprentissages… Ceux qui ont une dépendance à l’outil doivent régler leur situation, mais ce n’est pas celle de l’ensemble des gens.

-William : -interdire le cellulaire à l’école, est-ce vraiment possible ? Faudra-t-il fouiller les gens ?

-Mohammed : -la personne en échec a des problèmes à régler qui ne dépendent pas du cellulaire lui-même. -Interdire le cellulaire = une utopie.

-Audrée : j’aime mieux voir un jeune texter que de fumer une cigarette caché sous escalier ou autre lieu “secret” de l’école…

-Simon : -cette enseignante voit les choses d’un angle unique alors que toute médaille a deux côtés. il faut regarder les divers points de vue avant de conclure aussi drastiquement !

-Philippe L : -Avant, le cellulaire était interdit à notre école. Beaucoup de gens textaient quand même. L’interdiction ne règle rien. Et les enseignants s’en servent aussi.

-Félix : Déjà l’utilisation est interdite dans plusieurs classes… Mais pas dans les corridors. Le cellulaire peut être un outil très pratique AUSSI. Il y a de l’exagération chez certains texteurs, mais certaines utilités importantes aussi.

-Éli : Il faut arrêter de dire que les jeunes sont ceci ou cela. Plus on va mettre des interdits, plus les jeunes vont vouloir les franchir. Le plaisir de franchir l’interdit est quelque chose de très présent.

-Cassandra : Au lieu d’interdire, on serait mieux de valoriser la technologie en ce 21e siècle dans lequel on vit. Sinon, qu’on revienne aux chevaux, vu que les autos polluent.

-Le prof (moi 😉 , maintenant : J’aime bien toutes les réponses apportées par mes élèves lors de cette discussion éclair (15 minutes). Voici ce que j’ajouterais, simplement.

-En cette ère où on nous vante les mérites de réussites améliorées, grâce à l’intégration des TIC, en cette ère où on cherche comment mieux intégrer ces OUTILS, il faut savoir justement que ce sont des OUTILS, comme le crayon et le papier peuvent l’e^tre également.

-Un outil restera toujours ce que l’on en fait. Si les jeunes sont laissés à eux-mêmes concernant les usages de cet outil, l’école ne les éduquera pas à BIEN se servir de ces outils. L’école a un rôle à jouer dans l’intégration du bon usage de ces outils. Sinon, nier l’existence de ces outils équivaut à jouer à l’autruche et l’école ainsi faillit à sa mission première.

-Voilà pourquoi les filtres, les barrières, etc. doivent faire place à une éducation et au développement de l’esprit critique, une compétence devenue essentielle en cette ère de surproduction d’information de toutes sortes.

Voilà. Merci de m’avoir lu 🙂

Sylvain Bérubé

P.S.: Tous mes élèves veulent syntoniser le 106,3 à Québec dans 3 minutes, à la fin de ce cours !

 

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Note 1 : si, en voulant former des communautés, on empêche les gens de commenter directement sans être inscrit, si en plus le processus d’inscription bogue à ce point, alors on va avoir l’effet contraire et faire fuir du monde au lieu de former de véritables communautés dynamiques, non ? Juste mes 2 cennes !

MISE À JOUR : 2012-03-22–12h00

Gabrielle Cimon m’informe à l’instant que les gens de la SRC sont conscients du problème d’inscription qui m’est arrivé (et qui arrive à d’autres aussi, malheureusement) et qu’ils s’en préoccupent.

En attendant que le problème soit éventuellement réglé, je vais tenter de m’inscrire en utilisant une autre adresse courriel : on verra bien. J’espère que le problème sera réglé bientôt…

En même temps, tout ça me quesitonne sur les choix technologiques que nous faisons parfois : il arrive que certaines technologies boguent plus souvent que d’autres : Silverlight de Microsoft, pour donner un exemple (radiocanadien, lui aussi, je sais), ça vous dit quelque chose ? ;-/