Wi-Fi N

Ça y est, j’écris ceci librement dans la maison, grâce au routeur sans fil N acheté à très bon rabais chez la shop du Futur ce vendredi soir. En fait, le rabais était encore plus substantiel grâce à une erreur d’étiquetage, même s’il a fallu parlementer avec force auprès du gérant très peu réceptif et pas mal misogyne face à ma conjointe ! (Elle n’a vraiment pas apprécié… et je la comprends.)

Bref, un Linksys 300N à juste un peu plus de 100$ avant taxes (au lieu de 150), c’est vraiment bien ! Vive les erreurs de prix !

Et il est bien de pouvoir se balader avec le portable dans la maison sans interruption de connexion. La liberté du sans fil, c’est vraiment intéressant. À quand les villes sans fil ? Ici, à Québec, des bénévoles de Zap-Québec commencent à se décourager… avec raison ! Les politiciens ne comprennent rien à rien et emmerdent vraiment les démarches qui autrement seraient beaucoup plus efficaces. Lâchez pas, vaillants pionniers !

Les joies de la webcam

Cette semaine, j’ai installé Skype sur mon nouvel ordi. Pendant ce temps, mes amis martiniquais d’adoption pour un an faisaient de même sur leur PC.

Puis, ce fut la joie du direct, sans l’intermédiaire du clavier et ses inévitables “s”, “w” ou “z” muets qui viennent invariablement s’immiscer entre deux frappes à un moment donné…

Parler ainsi, pendant près de 2 heures, ça vous abolit une distance de quelques milliers de kilomètres en moins de deux. C’était bien amusant ! On s’est promis de récidiver, même si la récidive, ça ne s’applique qu’aux choses négatives par définition 😉 Alors on devra plutôt dire que l’on s’est promis de recommencer, et ce, assez bientôt.

Vive la technologie qui abolit les distances ! Que la Terre paraît soudainement petite…

Le Trois-Rivières de la photo-écran prise pendant la conversation, c’est un plateau à boissons, avec le logo de la distillerie martiniquaise Trois-Rivières (Voir aussi ici) ! Un clin d’oeil à un autre ami, natif de cette ville, au Québec.

Foule-traitance…

Un nouveau néologisme est né. Directement traduit de l’anglais crowd-sourcing (avec ou sans trait d’union), la foule-traitance consiste à peu près en de la sous-traitance, mais via le web.

Par exemple, une entreprise fait appel aux internautes pour résoudre un problème quelconque… Pour la compagnie, il devient rapidement évident que ça revient souvent moins cher que de payer une équipe complète de recherche et développement à temps plein.

Par contre, seule la personne qui résoud le problème est rémunérée. Tant pis pour les autres…

Pour quiconque voudrait vivre à temps plein de cette façon, c’est possible. Une photographe québécoise a réussi à gagner supposément dans les 6 chiffres en publiant plus de 5000 photos sur iStockPhoto, un site albertain. Par contre, cet exmple n’est pas tout à fait, selon moi, un exemple de foule-traitance, mais plutôt un cas de self-traitance via le web (un autre néologisme, tant qu’à y être !).

On comprend rapidement que le concept de la sécurité d’emploi devient ici complètement obsolète et que seuls le talent et le génie comptent, dans tous les sens du terme !

Plus de détail dans cet article.

À quand les profs self-traitants ? (Ça, c’est une autre histoire ;-))

Code «régional» ?

(Voir aussi lien en cliquant sur le titre)
Dans environ un an, cohabiteront deux codes dits régionaux sur ce qui n’était qu’une seule grande région (téléphonique) auparavant. En effet, tout l’Est du Québec (à partir de Portneuf sur la rive Nord et à partir de la Beauce sur la rive Sud) aura deux codes régionaux, le 418 qui arrive au bout de ses numéros disponibles et le nouveau 581.

Contrairement à Montréal où on a scindé la région en deux (L’Île-ville et les banlieues), ici on superposera les codes régionaux. Avantages à plus long terme : si pénurie de numéros, on ajoutera simplement un 3e code régional, point final.

Désavantage à court terme : composition à 10 chiffres obligatoire. C’est pas vraiment plus long à pitonner, mais faut retenir 3 chiffres de plus. En ce temps où les pertes de mémoire progressent avec l’âge moyen de la population, sera-ce le coup de grâce pour les mémoires défaillantes ?

Plus sérieusement, verrons-nous les immenses annuaires de téléphone élargir (pour y inscrire 10 chiffres au lieu de 7 par colonne) après avoir considérablement épaissi ces dernières années ? Ne serait-ce pas le temps de passer uniquement au Canada411.ca ? Ou de distribuer les immenses annuaires uniquement sur demande ?

Dire que j’ai déjà, dans ma tendre enfance, composé seulement 4 chiffres pour les appels à l’intérieurs du même incidatif LOCAL ! 🙂
Faut dire que sur un téléphone à roulette, ça comptait, le temps de composition !

Tant qu’à y être, Raffaella Carra apparaîtra encore plus comme une antiquité avec sa fameuse chanson ressortie récemment des boules à mites par TVA : 535-3456 (Prononcer cinque-tre-cinque-tre-quattro-cinque-sei) Na-na-na-na-na-nana !

Couleurs

J’ai découvert, par blogue interposé et par hasard, la semaine passée, cette page, originalement réalisée par Jemima Pereira, puis reprise par Djeault* dans un format d’affichage légèrement différent.

Très pratique quand on veut modifier «à la main» des couleurs dans sa page HTML ou son blogue. On promène sa souris sur la palette de couleurs, et on obtient le code hexadécimal approprié. Simple et rapide ! C’est sûr que de nos jours, avec toutes les applications Web2 qui existent, faire un site ou tenir un blogue est de plus en plus simple, mais il arrive toujours un moment où on veut procéder à clutch pour certains détails et c’est là que les petites notions HTML s’avèrent pratiques encore aujourd’hui.

Djeault a de plus réalisé entre autres cet outil appelé Djools (pour Djo et Tools) pour la rédaction de pages web. Pour le commun des mortels, ça contient quelques codes HTML très intéressants qui peuvent nous dépanner si on veut «désautomatiser» certains trucs ici et là… Cliquez dans la boite noire et vous verrez une fenêtre apparaître avec certains renseignements.

*Alias Joseph Deneault, Djo ou Djeault… Un personnage très coloré (À voir la page d’accueil de son site, c’est ce que j’en déduis 😉