OPC : à l'agonie ? – modifié

Je me faisais la réflexion, il y a quelque temps, sur les pouvoirs de plus en plus dilués de l’Office de la Protection du Consommateur (OPC).

Avec l’éclosion des marchés, la diversité de plus en plus grande du commerce en général et des moyens de commercer en particulier, l’Office fait de plus en plus piètre figure, ne parvenant plus à défendre les droits des consommateurs.

Quelle ne fut pas ma surprise de voir annoncé pour l’émission de télé La facture, à la SRC demain soir, ce sujet à l’ordre du jour. Intéressant ! J’ai hâte de regarder l’émission qui parle, entre autres, d’un budget sans cesse restreint pour expliquer la pâleur croissante de l’OPC.

Peut-être serait-il temps de revoir les buts et les mandats de l’OPC ?

MISE À JOUR : 2008-02-26–20H20 :

Un peu en réponse à Safwan et à la suite du visionnement de l’émission, voici mon ajout :

Le reportage confirme simplement ce que j’intuitionnais depuis quelque temps. Faut croire que mon intuition ou mes déductions sont passablement justes, des fois 😉

Ainsi, avec la prolifération des contrats de cellulaires alambiqués à souhait, par exemple, avec les pratiques commerciales à la limite du “profondément tordu” qui s’amplifient, je me dis que si on n’entend parler de rien, c’est que l’OPC ne fait rien (Parce qu’il ne peut à peu près rrien faire, faute de ressources). Un autre exemple serait l’augmentation de la consommation effrénée chez les plus jeunes qui ont souvent comme exemple la première génération des grands consommateurs… surendettés.

Le positif dans tout ça (la baisse de l’OPC), c’est que le citoyen doit se responsabiliser de plus en plus… mais sans éducation préalable, la responsabilisation est à peu près impossible. Et le citoyen lésé (et conscient de l’avoir été!) doit se défendre de plus en plus seul, car l’organisme n’a plus la possibilité de l’aider… Triste constat.

Objet inutile !

Il est de ces objets complètement inutiles. En voici un. Il a été reçu en cadeau lors d’un échange de cadeaux dits quétaines, juste pour rire. Les personnes impliquées dans cet échange devaient rivaliser d’ingéniosité pour dégoter l’objet le plus quétaine ou inutile possible. Je crois que la personne qui a reçu ce cadeau a vraiment été choyée, selon le thème de cet échange 😉

Maintenant : qui sait ce que ça peut être ?
J’ai deviné du premier coup.
Preuve que j’ai un vrai fond quétaine québécois ou nord-américain ?… 🙂

ATTENTION : pas le droit de cliquer sur l’objet ou d’y passer la souris avant d’avoir donné votre réponse ! Sinon, vous allez lire le nom de l’objet (en québécois) qui est aussi le nom du fichier JPG 😉

Paradoxe météorologique ?

Non, je ne vais pas vous entretenir à nouveau des paradoxes mathématiques de mon thermomètre !

C’est plutôt qu’hier, je faisais un rapprochement entre la température extérieure (sans facteur exagérex – ben assez frette comme ça) et la température financière de Québécor World.

Je me suis alors dit que PKP devait avoir très chaud, malgré l’air ambiant… Quoique ce froid doit probablement habiter les petits actionnaires qui ne reverront probablement jamais leur investissement. Québécor World, une partie de l’empire Québécor, va très mal, c’est le moins qu’on puisse dire : en même temps, le domaine de l’impression traditionnelle doit se renouveler s’il ne veut pas finir ainsi.

Tout ça a fini par m’inspirer ce montage photo brouillon, fait en 5 minutes, sans peaufinage : pas l’temps !
Il y a donc un gros bloc de l’empire Québécor qui fond comme neige au soleil (ou glace sur le comptoir), pendant qu’à l’extérieur on se les gèle 😉

Impression de photos

Hier, à mon retour à la maison après un peu de vacances, ce fut quelques courses, dont celle d’aller chercher les impressions de très nombreuses photos. Impressions que nous avons fait faire chez Jean-Coutu, à cause d’un prix spécial boxing day dont nous nous sommes prévalus le 26 décembre. (10 ¢ la photo, avouons que c’est tentant comme prix !) (Le problème, c’est leur terminal en magasin – trop de photos pour traiter par Internet – qui mélange les photos : on ne sait alors combien de temps il nous reste à faire patienter les clients suivants, à quelques minutes de la fermeture du commerce, car le classement chronologique initial sur le CD aurait permis de savoir où j’en étais rendu dans les recadrages nécessaires… Mais bon…)

Comme ça faisait 16 mois que nous n’avions fait faire aucune impression de photos, il y avait 753 spécimens (en fait un peu moins, car 66 photos provenait de quelqu’un d’autre de la famille qui voulait profiter du prix). Je reste donc fidèle à ma moyenne de 10% des photos prises que je fais imprimer. (À 5000 prises par an, la moyenne est facile à calculer 😉

Les impressions, maintenant…

J’ai l’impression que les photos sont sorties légèrement trop sombres. Pour certaines (pas beaucoup heureusement), mêmes les couleurs ont souffert. Il est évident que leur système de traitement en est un de masse (batch processing). Alors face à ces photos que j’ai regardées 2 fois plutôt qu’une, j’éprouve tout à coup un sentiment nouveau : celui d’aimer mieux regarder les photos à l’écran que sur papier. Il est vrai qu’un écran de MacBook Pro, ça possède un rendu vraiment très bon, comparé au moniteur ViewSonic vieillissant que je consultais auparavant.

Alors, est-ce parce que je suis mieux équipé, technologiquement parlant, est-ce parce que je me suis habitué aux pixels plutôt qu’au papier ? Je ne sais tout simplement pas. Mais je suis un peu déçu.

Avec un portable, il devient plus facile de transporter ses photos avec soi que de prendre quantité d’albums-photos papier. Vais-je refaire imprimer des photos un jour ? Je ne sais pas non plus… D’autres tests seront peut-être nécessaire. Peut-être que le spécial incluait un batch processing plus cheap ? Encore une question sans réponse.

J-F Mercier : la suite !

Voici la suite de la saga de J-F Mercier avec la Belle compagnie…

Comme c’est une personnalité, que la vidéo a été vue par beaucoup de personnes, que le tout a généré moult commentaires, alors la compagnie a dépêché un de ses directeurs de services pour régler rapidement le dossier afin qu’on oublie l’incartade du client frustré au plus vite !

Voici donc la suite, telle que racontée par le client protagoniste :

Au début, j’ai presque cru qu’on avait fini par acheté Mercier… Puis, ma perception s’est modifiée. Bon visionnement : 7 minutes.