Lectorat

Déjà, j’étais tout surpris, le 24 février dernier, quand j’ai vu mon 1000e visiteur passer par ici. Bien sûr, le compteur avait été installé quelques mois avant ça et le blogue, lui, comptait 6 mois d’existence au total, à ce moment…

Voilà que un peu plus d’un mois et demi plus tard, le 2000e visiteur est passé par ici ce soir. Sans avoir la statistique précise, je peux dire que le 2e mille aura pris environ 2 fois moins de temps à passer que le 1er mille !

Merci à tous !

De plus, j’ai remarqué, en consultant mes statistiques sur google.com/analytics, que plusieurs visiteurs récents proviennent de chez Max que j’ai croisé au salon du livre, que j’ai été saluer en personne, et qui a mis un lien dans son billet écrit à la suite de ce salon du livre. Max se dit parfois surpris de voir qu’il est lu par plus de gens que les membres de sa famille et ses amis… C’est ça qui est intéressant sur la blogosphère : on ne sait pas qui passe par nos blogues, car la majorité ne laisse pas de traces. On ne peut connaître tout le monde, mais on peut savoir d’où ils viennent par contre, grâce à un outil de statistiques…

Ainsi, je sais que vous, chers lecteurs, provenez de partout sur le globe, avec une concentration plus forte au Québec, bien sûr, suivi de près par la France !

Continuez de me lire, c’est bien 😉 mais laissez-moi aussi vos coordonnées de blogues si le coeur vous en dit, afin que je puisse aller vous lire à mon tour ! C’est comme ça qu’on réussit à créer un maillage social intéressant !

Nigeria – quel pays…

Bien triste découverte hier en écoutant 5 sur 5… celle d’un pays où règne une corruption qui a fait en sorte que toutes les richesses que peut procurer le pétrole dans un pays aujourd’hui ont pu être ainsi détournées de sorte que le peuple n’en a jamais bénéficié. Un pays riche et un pays de misère…

Une situation à suivre, car ce pays est supposé avoir des élections (dites) démocratiques cette semaine, le 21 avril.

F1 – Bahrein

Contraste sur le podium hier où le Brésilien Felipe Massa (1er) côtoyait son coéquipier Kimi Raikkonen (3e). L’exubérance normale de Massa avait l’air ultra-extravagante à côté du visage de glace de Raikkonen. Ça m’a tout à coup rappelé le contraste Arielle Dombasle – Chantal Hébert à Tout le monde en parle en novembre dernier.

Un autre élément marquant : la performance de Lewis Hamilton. Le petit nouveau a battu un record : il est monté sur le podium (3e, 2e, 2e) à ses 3 premiers Grands Prix.

Le prix de la fécondation

Cette semaine, à Enjeux, une émission très intéressante (2 volets : 1 et 2) qui fait ressortir le débat qui existe entre Santé Canada et les cliniques de fertilité : vous l’aurez deviné, il s’agit de l’argent, ces petits billets verts souvent au coeur de plusieurs controverses ! Bien sûr, des valeurs morales guident aussi la réflexion dans cette histoire ! Et les couples, eux, voient passer le débat au-dessus de leurs têtes… ou sortent leur portefeuille pour aller ailleurs…

D’une part, Santé Canada veut que tous les donneurs canadiens soient des altruistes convaincus qui n’acceptent aucune rémunération. On veut que ce soit un DON, purement et simplement. On veut éviter le commerce humain sous toutes ses formes : l’objectif est louable, du point de vue de l’éthique pure.

Or, ailleurs, le don de semence est payant pour le donneur ou la donneuse… Ce qui vient de créer en quelque sorte un commerce international de la semence. Les Canadiens infertiles vont s’approvisionner ailleurs (USA, Mexique, etc.) Mais voilà que Santé Canada se propose d’interdire ce commerce avec l’étranger : les couples infertiles n’auront d’autres choix que de se tourner vers l’adoption si ça continue.

Le problème avec ces voeux pieux, c’est que le Canada est seul dans sa croisade. Et LA question qui tue (comme dirait Guy-A) : est-ce que donner de sa semence reproductrice est monnayable ou non ? Commerce-t-on l’humain comme dans un trafic d’organes, par exemple, quand on donne de sa semence ? Poser la question n’est pas nécessairement y répondre, car la réponse n’est pas aussi simple que la question !

Un élément intéressant dans le reportage apportait une partie de réponse : on ne paye pas pour la semence en tant que telle, mais on dédommage le donneur pour le temps qu’il a consacré entre autres à l’«enquête préliminaire», pendant laquelle on s’informe de la santé génétique du donneur, en prélevant ici et là, etc. Chez la femme, le don d’ovule présuppose une anesthésie générale, précédée de la prise d’un stimulant hormonal favorisant la production d’ovules : ce ne sont pas des choses qui peuvent être faites complètement gratuitement sans aucune compensation dans le monde d’aujourd’hui…

Bref, le rêve de Santé Canada est beau sur papier, mais en pratique, il est très difficilement applicable ! Avec le taux d’infertilité qui augmente, dit-on, à cause de la pollution ou d’autres facteurs plus ou moins hypothétiques en cours de vérification, on pourrait être en droit de se demander ce qu’il adviendra de la population ou de la fécondation dans quelques décennies… Mais s’il y a un prix à payer au donneur (ou au vendeur, s’il reçoit rémunération !?!), quel doit-il être pour ne pas être qualifié d’exagéré ?

Le débat n’est pas clos !

Tout un service !

Ça y est ! En revenant du boulot, une belle surprise m’attendait !

La saga a commencé il y a quelques mois, alors que j’apprenais que ma “coquille” Chlorophylle en GORE-TEX était délaminée (Les couches superposées de la membrane avaient décollé, en quelque sorte, entre elles, créant des micro-plis dans le tissus de surface et amoindrissant la qualité du produit en diminuant ses propriétés). J’avais acheté ce manteau il y a environ 7 ans, presque à moitié prix, la couleur étant “démodée” (i.e. qu’elle appartenait à une série qui n’était plus produite, d’où la nécessité, pour le commerce, de s’en débarrasser…)

Cependant, la compagnie Chlorophylle (qui a perdu un peu de son lustre au fil des transactions et des changements dans l’entreprise depuis les 10 dernières années), en dépit d’une garantie à vie, ne pouvait plus échanger le produit, car un délai de 5 ans sorti je ne sais d’où était manifestement dépassé.

On m’a alors dit de m’adresser à la compagnie Gore directement.
La préposée, qui s’exprimait dans un excellent français (avec un léger accent, quand même), fut très collaboratrice. Elle m’a demandé d’expédier la coquille défectueuse pour examen, et m’A laissé entendre qu’elle serait vraisemblablement remplacée gratuitement, si l’examen confirmait ma version des faits, ce qui fut le cas. Après examen de la coquille Chlorophylle défectueuse, donc, la gentille préposée, Naomi, a téléphoné pour me dire d’aller magasiner et, surtout, essayer des coquilles différentes, de toutes marques, pourvu que la membrane soit fabriquée par Gore.

Quelques semaines plus tard (J’ai pris mon temps et les disponibilités à Québec sont parfois assez limitées pour ce genre de produit quand on n’est pas nécessairement en pleine saison, même si le produit peut facilement servir 12 mois par année !), je rappelle Naomi pour lui donner les modèles choisis par ordre de préférence. C’était il y a environ une semaine.

Aujourd’hui, le colis est arrivé à la maison et ma blonde m’avait soigneusement placé le nouveau manteau, bien en évidence près de la porte d’entrée !

Je suis très content de ce service que j’ai eu, et mon portefeuille est très content de l’investissement fait il y a 7 ans, investissement qui se voit rentabilisé au-delà de toute espérance, “grâce” à une défectuosité !