Enfin commandé !

J’ai commandé mon MacBook Pro aujourd’hui.

Comme je profite d’un service de retenue sur la paye pour acheter ledit bijou, je dois attendre que mon employeur reçoive le tout, car ainsi va la procédure. Mon employeur ferme ses bureaux du 14 au 29 juillet, alors j’espère que le 1 to 2 weeks to shipping (temps requis AVANT que l’ordinateur se retrouve dans un quelconque moyen de transport – m’a-t-on gentiment expliqué) sera plus près du 1 semaine que du 2 semaines, car sinon, ça va être serré dans les délais.

Depuis le temps que j’en rêve (Ça faisait déjà longtemps quand j’ai écrit ceci, alors c’est tout dire !), j’imagine que la satisfaction n’en sera que meilleure. Ah ! le désir créé par l’attente : un concept un peu oublié de nos jours alors que tout peut s’acheter instantanément ou presque, sauf si le budget n’est pas au rendez-vous ou que des priorités sont apparues dasn un autre volet budgétaire…

Ah oui, pour les intéressés, j’ai commandé la version de base, alors qu’avant la dernière mise-à-jour des produits chez Apple, je penchais plutôt pour le modèle dit «milieu de gamme des MacBook Pro». C’est que, entre-temps, les caractéristiques ont très bien évolué sur le modèle de base. Donc, pour moins cher, j’obtiens plus : parfois payant d’attendre, mais rarement en informatique, alors je profite du momentum.

F I N I ! ! !

Enfin F I N I le rush interminable des corrections, compilations, vérifications et autres tâches en –tion ! Enfin toutes mes notes sont entrées dans “le système”. (Pour 132 élèves, j’ai plusieurs notes à entrer, chacune étant bien sûr le résultat d’évaluations de toutes sortes, etc.)

J’ai l’impression d’avoir presque cessé d’exister au cours des dernières jours, ou plutôt semaines. J’ai parfois occulté mon envie d’écrire tel ou tel billet. N’ayant pas pris le temps de noter les idées, j’ai eu ainsi l’occasion d’en perdre quelques unes…

Mais ce n’est que partie remise, sauf quand je serai parti ici ou là pour de petites escapades. (Quoique, dans ce cas-ci, mon prochain billet (ci-dessus) vous renseignera sur ma future mobilité informatique : j’ai hâte !)

Erreur évidente !

Richard Latendresse, dans une pub TVA qui annonce un futur reportage TVA (ou est-ce un bout d’émission TVA?), nous parle des touristes québécois qui afflueront en quantité supposément industrielle aux USA cet été, grâce à un dollar canadien vraiment très fort ces temps-ci.

Or, dans ladite pub, la dernière phrase de M. Latendresse comporte une faute des plus évidentes. Il y dit, et je cite : «Une grande surprise les atten-dent» avec une prononciation légèrement hésitante dans le temps, pour la dernière syllabe, mais qu’on finit par entendre très distinctement.

Cou’donc, il n’y a personne qui lui a dit que le verbe, ça s’accorde avec le sujet et non avec le complément ?

Ça fait deux fois que je vois cette pub et ça fait deux fois que ça m’énerve ! Déformation professionnelle ? Peut-être ! Mais je pense aussi qu’on est en droit d’exiger toujours plus de nos journalistes, de nos publicistes, etc.