Pluie, soleil, murs, dépassements… Trop ?

Je refais surface dans mon blogue, après avoir passé plus de 2 heures collé à l’écran de télé en ce dimanche matin. Trois mots : Quel grand prix ! Impossible de tout dire ici.

Il sera très difficile de résumer en une heure cette course pour la présentation de Formule 1 Express à RDS… Il a fait beau, il a plu, parfois très abondamment (On dirait la météo de mon récent voyage de pêche dont on parlera plus tard ici), forçant les passages aux puits à qui mieux mieux pour changer et rechanger les pneus. À travers ça, des pilotes qui réussissaient à rester en piste et d’autres qui en sortaient, parfois à la file indienne en début de course au 3e tour. On a même vu une voiture frôler le tracteur parti dégager Lewis Hamilton qui est tout simplement reparti instantanément en piste.

Hamilton, après avoir violemment frappé un mur hier en qualif, a pu faire la course, et surtout la terminer, même s’il ne s’est pas inscrit au pointage (Quoique, ici, un tour ou deux de plus lui aurait permis de faire quand même un point : assez phénoménal quand même…)

Et que dire de Massa qui a dominé toute la partie “sèche” de la course, mais qui s’est fait coiffer à quelques tours de la fin par Alonso, avec un léger contact pendant le dépassement, contact qui s’est poursuivi en coulisses, juste avant que les gagnants montent sur le podium, où Massa affichait une mine vraiment sombre. Affrontement de tempéraments latins !

En terminant, la course au championnat demeure extrêmement serrée entre les deux pilotes Maclaren-Mercedes, qui sont suivis par les deux pilotes Ferrari, le 4e étant le malchanceux Raïkkonen qui a dû abandonner aujourd’hui (mais pourquoi ? on ne le sait pas encore…).

À venir, sur Variations sur thèmes

Photos de voyage…

Nous partirons bientôt pour une expédition sur la Péribonka (comme l’an passé). En espérant que Dame Nature soit aussi favorable qu’en juillet 2006 pour les prises de vues exceptionnelles.

Si je me branche quelque part (mon portable n’arrive qu’en août), peut-être aurai-je le temps pour un petit billet. Sinon, ça ira après l’expédition.

À bientôt !

En attendant, pour ceux qui sont passés par ici il y a quelques jours ou plus, voyez les photos de la Coupe du monde de St-Félicien ci-dessous.

St-Félicien : Photos 1

Ah, les vacances ! Ça nous dérégularise de nos blogues 😉
Ces temps-ci, j’ai l’impression de vous négliger, chers lecteurs, mais c’est pour la bonne cause : la récupération, essentielle à toute existence.

Voici donc quelques unes de mes 600 quelques photos (!) prises lors de la Coupe du monde de St-Félicien. Dans ce post, on verra Marie-Hélène Prémont.
(Cliquez sur chaque photo pour agrandir.)

Tension palpable avant le départ…

Phase 1 de la course :
Marie-Hélène domine
suivie de près par la Russe
Ça monte…
…et ça monte !
Parfois, ça tourne aussi…

Festival d'été de Québec

J’avais un très très grand besoin de décrocher. Le Festival d’été de Québec m’y a grandement aidé.

Malgré son site internet archi lent chez moi (Mon MacBook Pro n’arrivera qu’en août, puisqu’il faut qu’il passe par l’école qui est fermée jusque là : procédures obligent), un site où le programmeur a probablement trop trippé “petites fonctions flash alourdissantes inutiles”, le festival offre quand même de bons spectacles et quelques découvertes. Pour moi, en tout cas…

Avec de la parenté et leurs amis de Montréal, nous avons passé une très belle fin de semaine, à courir les spectacles ici et là. J’ai ainsi pu apprécier Manu Chau (très bon show), me faire défaire pendant un moment les oreilles (pourtant dotées d’un très bon compresseur) par Nickelback, constater que l’ancien Pigeonnier est trop petit pour Pierre Lapointe…

J’ai aussi découvert Joseph Arthur, que je ne connaissais pas, mais que semblaient beaucoup apprécier les amies montréalaises 😉 Adepte de ce que j’appelerais d’instinct du “live sequencing”, il sait nous amener vers un univers un peu différent, qui rappelle plein de trucs de diverses provenances, mais qui sait charmer l’auditoire. N’eût été de la bassiste qui est revenue complètement gelée d’un petit séjour en coulisses pendant une pièce où JA était seul, le spectacle aurait été presque parfait. Chapeau aussi au groupe cubain de l’après-midi d’hier, et dont j’oublie le nom (J’irais bien voir sur le site du festival, mais je n’ai pas la demi-heure de patience requise… OK. Je caricature un petit peu, là !) Ce groupe mettait à profit un excellent pianiste qui a un style que j’aime bien, peut-être parce que j’y retrouve certains points communs 😉

Enfin, on est allé écouter les trois heures (21h à 00h) du show de Zachary Cabrel et Francis Richard (!). Beaucoup moins de monde que les deux soirées précédentes, mais quand même plusieurs milliers (ou 2-3 dizaines de milliers) de personnes… Le froid était au rendez-vous à partir de 22h environ, c’est peut-être ce qui a occasionné quelques petits problèmes vocaux au troubadour français qui semblait parfois peiner à monter quelques notes (pourtant, un peu plus tard, il en a monté des plus hautes (oreille absolue de l’auditeur-rédacteur le prouvant!) sans effort apparent…)

Ah oui, hier après-midi, je vois quelqu’un, à deux reprises, lever bien haut son cellulaire (portable pour les cousins 😉 et faire écouter un bout de show à son interlocuteur. Je trouvais ça un peu bizarre, voire inutile… Hier soir, pendant une toune de Zachary Richard, quelle ne fut pas ma surprise de décider subitement de faire pareil et d’envoyer un message sur le répondeur téléphonique d’une amie alaskienne (Il n’y avait pas de réponse, alors je suis tombé sur la machine…), juste pour lui dire qu’on avait hâte de la revoir (sachant aussi que Zachary est un de ses chanteurs préférés !)