Bonjour,
Je vais vous parler du livre que j’ai lu. Le titre de ce livre est Sally Jones. Ce livre a été écrit et illustré en 2014 par un suédois qui s’appelle Jakob Wegelius.
Sally Jones est un singe et une mécanicienne de bateau. Tandis, que son meilleur ami, Le chef, est le capitaine de ce bateau. Sally Jones et Le chef n’avaient pas eu de marchandises à transporter depuis longtemps. Soudainement, un homme est venu les voir quand ils sont entrés dans un bâtiment. Il leur a proposé de transporter des marchandises. Sally Jones et Le chef ont sur le coup tout de suite accepté. L’homme qui les a engagé s’appelait Alphonse Morro. Rendu à la destination qu’Alphonse Morro leur avait donné rendez-vous, un autre homme est venu les voir en leur disant qu’Alphonse Morro n’avait pas pu venir. Alors ils ont commencé à embarquer le chargement. Un instant plus tard, une fois le chargement embarqué, Sally Jones et Le chef sont allés voir les marchandises pour les inspecter. Ils ont découvert que c’était des armes. Soudain, le remplaçant d’Alphonse Morro les remarque, alors il appelle ses collègues pour qu’ils attachent Sally Jones et Le Chef. Alors le remplaçant d’Alphonse Morro s’empare du bateau, sauf qu’il ne sait pas comment diriger un bateau. Malheureusement, le remplaçant d’Alphonse Morro fait couler le bateau. Alors, Le chef et Sally Jones s’en vont voir Alphonse Morro sur le bord d’un quai pour lui parler, mais Alphonse Morro tombe à l’eau. Des témoins voient la scène, appellent la police croyant que Le chef a poussé Alphonse Morro dans l’eau. Les témoins croient qu’Alphonse Morro est mort noyé quand il est tombé dans l’eau. Quand la police arrive, il arrêtent Le chef alors qu’il est innocent. Sur le coup, Sally Jones s’enfuit pour ne pas se faire capturer aussi.
La nuit, Sally Jones va sur les toits des maisons pour ne pas se faire remarquer mais, un soir, Sally Jones entend une personne chanter. Elle se rapproche de là. Soudain, une personne remarque Sally Jones et elle lui fait signe de venir. Sally Jones est douteuse, mais elle y va quand même. La personne lui dit qu’elle s’appelle Ana. Ana, commence à prendre soin de Sally Jones. Les jours passent, mais un jour, Sally Jones rencontre signor Fidardo. Signor Fidardo est l’ami d’Ana et son travail est de réparer des instruments et d’en construire de nouveau. Signore Fidardo propose à Sally Jones de l’aider à réparer des instruments. Comme Sally Jones est une bonne réparatrice d’accordéon, Signor Fidardo décide de lui donner un accordéon rouge tout détruit. Une fois l’accordéon réparé, Sally Jones décide d’aller le donner au chef qui est maintenant en prison. Un jour comme les autres, Sally Jones trouve le médaillon d’Alphonse Morro. Il y avait une photo de sa femme à l’intérieur. Sa femme est morte assassinée. Un peu plus tard, Sally Jones reçoit une lettre. La lettre vient d’Alphonse Morro. Alphonse Morro envoie de l’argent et un petit message. Sur le message, il est inscrit que l’argent est pour mettre des fleurs sur la tombe de sa femme. Sally Jones regarde ensuite la lettre et découvre que la lettre vient de Cochin, en Inde. Soudain, Sally Jones a une idée. Elle décide de partir en Inde pour aller retrouver Alphonse Morro et ainsi sauver Le chef. Rendu en Inde, tout ne se passe pas comme prévu. Sally Jones se fait capturer et se fait donner en cadeau au maharadjah. Plusieurs mois passent, mais soudain, Sally Jones découvre un disque de musique chez le maharadjah.
Sally Jones le regarde et, elle découvre une photo d’Ana à l’arrière. Elle découvre alors qu’Ana est devenu chanteuse. Sur le coup, Sally Jones fait jouer le disque. Tout à coup, le maharadjah arrive et entend la chanson jouer. Il regarde la boite du disque et voit Ana derrière. Il tombe tout de suite amoureux d’elle. Alors, le maharadjah invite Ana à venir en Inde. Ana accepte l’invitation. Un peu plus tard, le maharadjah décide de montrer son avion à Ana mais, en arrivant à l’avion, Ana découvre Sally Jones. Ana se dit que c’est un miracle qu’elle revoit Sally Jones. Sally Jones fait comprendre à Ana qu’elle doit aller à Cochin. Sally Jones fait comprendre aussi qu’Alphonse Morro se trouve sûrement à Cochin. Alors, Ana dit au maharadjah qu’elle veut aller à Cochin. Le maharadjah ne refuse pas l’offre, même qu’il accepte. Rendu à Cochin, Ana et Sally Jones ne réussissent pas à trouver Alphonse Morro. Comme ils allaient partir, une femme leur dit:«Je sais peut être où se trouve Alphonse Morro». La femme leur dit aussi qu’Alphonse Morro est très malade et qu’il est sur le point de retourner à Lisbonne, l’endroit où tout a commencé. Alors, Sally Jones et Ana retournent à Lisbonne. En arrivant à Lisbonne, Sally Jones se met à attendre Alphonse Morro. Quelques jours plus tard, signor Fidardo reçoit un appel de l’hôpital. La personne qui l’a appelé de l’hôpital lui a dit qu’Alphonse Morro était là et qu’il était très malade. Alors, Sally Jones et signor Fidardo sont partis dire la bonne nouvelle à Ana. Un matin comme les autres, signor Fidardo reçoit un autre appel de l’hôpital, mais, cette fois, ce n’est pas une bonne nouvelle. La madame qui a appelé signor Fidardo lui a dit qu’Alphonse Morro a disparu. Quand signor Fidardo annonce la nouvelle à Sally Jones, Sally Jones sait où se trouve Alphonse. Sally Jones sait qu’il se trouve à la tombe de sa femme qui est morte. Sally Jones commence à courir en direction du cimetière parce qu’elle sait qu’Alphonse Morro est en danger, mais Sally Jones arrive trop tard. Alphonse Morro est déjà mort. Sally Jones sait qui l’a tué. Elle sait que c’est la même personne qui a arrêté Le chef auparavant. Un peu plus tard, un policier arrive et commence son enquête. Soudain, le policier sait qui est le meurtrier, mais il sait aussi que c’est également un policier. Alors, le policier va demander à son patron pour enquêter sur le policier. Son patron accepte, mais avec une certaine hésitation. Le policier n’avait pas le droit à l’erreur. Le policier a repris ses recherches en commençant par aller fouiller l’appartement du policier qui aurait fait le meurtre.
En arrivant dans l’appartement, le policier découvre que le commissaire Garetta s’est enfui. Alors, il a toutes les preuves que le commissaire Garreta est le meurtrier, donc Le chef ne l’est pas. Le policier s’en va donc à la prison pour libérer Le chef. Pour fêter cette retrouvaille, Sally Jones, Ana, signor Fidardo et Le chef s’en vont au restaurant préféré de Sally Jones et Le chef où ils vont faire la fête du soir au matin. Une semaine plus tard, Ana reçoit une demande de tournée. Ana accepte et signor va l’accompagner pour sa tournée. Après qu’Ana soit partie en tournée avec signore Fidardo, Sally Jones et Le chef sont partis à l’épave de leur bateau. Soudain, le chef eut une idée. Son idée était de dynamiter un bout de la rivière pour créer un barrage pour que le bateau remonte à la surface. Après avoir dynamité la rivière. Ils ont réussi à faire remonter le bateau et c’est comme ça que l’histoire se finit.
J’ai aimé ce livre parce que, quand je me mettais à le lire, je ne pouvais plus m’arrêter avant que ça fasse au minimum une heure que je lise. J’ai aussi aimé le livre parce que c’était un des plus gros livres que je n’avais jamais lu parce qu’il faisait 564 pages.












Après avoir vécu, en présentiel, la 10e édition du colloque Clair20xx, après avoir pu encore profiter de chaque instant où je me retrouve dans un lieu désormais devenu familier, mais toujours rempli d’heureuses surprises, après avoir pu passer du temps avec des gens que j’en suis venu à aimer, professionnellement, mais aussi d’amitié dans certains cas, après avoir contribué un tant soit peu à l’organisation de chacune des 10 éditions du colloque avec une merveilleuse équipe de programmation en étroite collaboration avec tous ces gens du CAHM (L’école où ce colloque est né et où il a toujours lieu chaque année depuis 9 ans), après tout ça, donc, voici venu pour moi le moment de dresser une sorte de bilan. Pas un bilan de départ, mais un bilan après une bonne tranche de temps (9 années, 10 colloques, ce n’est pas rien!). J’appuie sur “pause” pour mieux ré-appuyer sur “play” par la suite !
Nous nous amenons à Clair, mais Clair nous prend, nous élève, nous transporte… ou nous emporte. On ne sait pas où tout de suite, mais c’est toujours plus loin. Et ça nous permet de devenir une meilleure personne, un meilleur apprenant, un meilleur prof. J’allais ajouter un meilleur humain: car l’essentiel est là.
1-Faire plusieurs “Clair” pour garder le tout dans sa forme actuelle. Impensable, car cette école doit déjà faire des prouesses d’organisation de temps pour se transformer en vitrine pédagogique une fois par année. Il y a toute une pression sur les enseignants de cette école, pression qui peut être très positive, mais pour ce faire, on doit demeurer vigilant quand on est capitaine de ce magnifique navire, ce que Roberto, puis maintenant Claudine font à merveille.
5-Fragilité de la flamme, fragilité de ceux qui l’allument. La maladie de Brigitte qui s’est manifestée 2 jours avant le colloque (Brigitte, cette artisane de Clair, membre du comité organisateur, responsable de milliers de tâches… et qui disait à tous que c’était son dernier Clair et qui n’a même pas pu y participer) Mon âme est si triste quand je pense à elle… La fragilité de Mario, qui a connu un automne difficile au plan de la santé. Qui se relève bien. Qui nous a suivi à distance et qui s’est manifesté quelques fois via Twitter… La finitude humaine, ou ses limitations, tout ça m’est revenu en pleine face cette année. Je vieillis moi aussi, faut croire.
Pendant ce temps, cette édition a apporté beaucoup. Encore une fois. Nous a nourri, nous a transformés. Nous nous sommes replongés avec plaisir dans notre réseau, nous avons renoué avec tant de personnes que nous croisons une fois par année (et si on ne peut pas s’inscrire, il faut alors trouver d’autres moments où se voir!). Nous avons revu des élèves faire des miracles dans leurs apprentissages.
Je me suis rappelé d’abord qu’une de mes profs d’université nous avait déjà dit qu’à une certaine époque lointaine, “savoir écrire” signifiait être capable de signer son nom. “Savoir lire” allait à peine plus loin que de lire une liste, etc. Depuis, les choses ont évolué, la vie s’est complexifiée, de plus en plus, et de plus en plus vite ! À une autre époque, plus récente, était considéré alphabétisé quelqu’un qui était capable de faire son rapport d’impôt, à supposé que c’était un rapport d’impôt de salarié normal, sans ajout de gestion multiple et de comptabilité inhérente au travailleur autonome, par exemple.
Afin de pouvoir évoluer dans le monde désormais numérique, il faut posséder, maitriser certaines compétences qui ne sont plus exactement les mêmes qu’à l’époque pré-numérique. Ainsi, nous sommes devenus submergés d’informations de toutes sortes (l’infobésité), du bon comme du moins bon, nous obligeant ainsi à développer une certaine expertise dans l’évaluation du contenu qui nous est présenté en quantités industrielles, en plus de devoir savoir naviguer dans des flots de plus en plus gigantesques de données, présentées souvent de toutes sortes de façons.