Pièces jointes inutiles – ça m'énarve !

Je reçois cette semaine, par courriel, l’annonce d’une réunion-commission, où tous les gens travaillant à la commission scolaire et dans les écoles s’y rattachant sont invités. Jusque là, pas de problème, sauf que le corps du message nous dit simplement et SEULEMENT d’ouvrir la pièce jointe qui contient, elle, l’essentiel du message : quelle perte de temps et quels clics de souris inutiles ! Cette façon de faire se produit souvent dans les communications de la CS.

Je n’en revenais tellement pas que j’ai écrit à l’expéditeur, quand il a aujourd’hui envoyé un rappel où tout l’essentiel du message était, cette fois, ENFIN !, dans le corps du message lui-même.

Enfin un peu d’efficacité, mais c’est tellement rare 🙂

Je sais que, parfois, on veut faire cute, mais l’efficacité doit passer avant tout. Quand on gère des tonnes de courriels et autres trucs parfois mieux adaptés (ex. Je teste Twitter ces jours-ci), on veut que ça soit efficace et non jouer aux poupées russes dont la dernière à ouvrir contient le message.

Qu’on se le dise !

Une autre rentrée…

Je parle ici de celles des profs, qui reviennent au travail après leur mois de convalescence suivi de 3 ou 4 semaines de vacances (dixit Sylvain Lelièvre, comme je l’ai déjà mentionné sur ce blogue). Dans mon cas, c’était hier, soit 2 ou 3 jours ouvrables plus tard que certains collègues d’autres commissions scolaires dans d’autres régions du Québec…

Pour plusieurs profs, il y a toujours une joie mêlée d’autre chose qui va avec cette journée. Joie de revoir certains collègues (pas tous, c’est évident !). Angoisse ou petites peurs face à certaines autres personnes ou face à la tâche (surtout) qui s’en vient. Attentes aussi : quel(s) sera(seront) mon(mes) local(locaux) ? quel sera mon horaire ? quand aurai-je cet horaire ? (Hein, PM? ;-))

Bien sûr, cette rentrée est parsemée (plutôt que clairsemée, au secondaire du moins) de réunions, certaines plus utiles que d’autres, en très petit nombre, les utiles, mais ainsi, on manque toujours de temps pour vraiment planifier avec nos collègues immédiats, ceux qui enseignent la même matière que nous ou au même niveau que nous. Et qui dit manque de temps pour planifier dit aussi plus de travail à la maison.

Dans mon cas, voir le petit widget en bas de la colonne de droite, il faudra planifier en plus une période d’absence de quelques petites semaines dans environ un mois. Il faut très bien planifier ces absences, car au retour, c’est moi qui ramasse et qui paiera les pots cassés, s’il y a lieu… Arme à deux tranchants que ces congés parentaux 🙂

Bref, je plonge une fois de plus, beaucoup plus heureux qu’à ma rentrée de l’an dernier où je devais me remettre d’un coup (très) dur, professionnellement parlant, mais humainement parlant aussi. Après un an, je considère que le deuil est fait, que je suis complètement redevenu heureux (ou presque !), ce qui est vraiment essentiel à mon bon fonctionnement !