La MUSIQUE avant tout !

Hier, sir Paul McCartney a énoncé ce que je pensais déjà et que j’ai insinué très brièvement en commentaire chez Mario Asselin*: la musique passe avant la politique, un point c’est tout.

La musique, c’est un langage universel, qui se positionne bien au-dessus des chicanes linguistiques français vs anglais, etc.

Que l’on laisse la musique s’exprimer dimanche sur les Plaines, que l’on fête et que l’on célèbre, point final ! Profitons de l’événement sans arrière-pensées stériles, polarisantes de débats ou sclérosantes : la musique est bien plus que cela, parole de musicien 🙂

*Commentaire intéressant sur ce même billet de Mario, ce matin, par Félix, qui fait allusion au même 400e de 2042… étrange quand même que cette coïncidence 😉

Plus tu parles…

… plus tu te cales, dit la phrase !
On en a eu un bel exemple hier aux actualités. Le rédac en chef de Paris-Match en rajoute au lieu de simplement présenter ses excuses pour un manque de rigueur journalistique flagrant (à moins que, comme de méchantes mauvaises langues l’ont prétendu, la célèbre revue ait été vraiment mal informée par des gens jaloux qui auront leur 400e en 2042 (!), ce qui serait profondément ridicule tout de même ;-))

En effet, hier, on a pu lire des extraits de la lettre de M. Chauffier qui a l’air d’aimer ça quand ça… chauffe, justement. Eh ben chauffe tant que tu veux mon p’tit Chauffier, la pluie de tes injures condescendantes n’atteindra pas le parapluie de notre indifférence face à ta petite pensée limitée et prétentieuse et face à ta petite revue, même si elle est présente dans 120 pays. Maintenant on sait ce qu’elle peut valoir, sur le plan de l’INFORMATION !

De plus, dans cette lettre, le p’tit Chauffier fait preuve une fois de plus de son ignorance, cette fois-ci dans la signification des mots et des expressions outre-sa-frontière : c’est pas parce qu’on parle français nous aussi que le mot paysan signifie la même chose… Alors voici ma note pour vous, puisque les bulletins chiffrés sont à la mode ici : un beau gros ZÉRO.