Eh oui, c’est fini !
Poutine un jour…
Tels le sel et le gras, principaux ingrédients de ce célèbre mets québécois, Vladimir Poutine et son dauphin, Dimitri Medvedev, sont unis pour la vie, ou presque. Ils apparaissent à peu près indissociables à l’issue des «élections» (remarquez les guillemets, très importants ici, dans ce contexte de simulacre de démocratie) d’aujourd’hui, en Russie. La foule scandait “Poutine, Poutine”, et ce n’était pas pour réclamer une «livre de beurre» en sauce salée…
Poutine apparait donc comme un redoutable joueur d’échecs, meilleur que Kasparov (qui s’oppose, en passant) : il a matée la Tchétchénie et fait taire la plupart des opposants majeurs, même Kasparov et son regroupement, l’Autre Russie. Il a donc su convaincre les Russes qu’il (ou son dauphin : ça revient au même selon moi) était l’homme de la situation pour donner aux Russes un style de vie qui leur convient, semble-t-il…
Un dossier à suivre, quand même.