Cellulaire perdu… et retrouvé !

Mais la nouvelle reste mauvaise ! (Voir plus loin)

Hier, le clip du cellulaire (portable pour nos cousins français) se détache du sac à main de ma blonde sans qu’elle s’en aperçoive… Environ une heure de magasinage plus tard, elle se rend compte que le téléphone est disparu. Retour dans les deux commerces fréquentés, alerte aux employés des deux entreprises, appels répétés de ma part pendant presque une heure pour faire sonner le téléphone, depuis la maison, pendant que les employés et ma blonde cherchent sans cesse : peine perdue, le téléphone est bel (Bell) et bien introuvable 🙁

Pour ne pas se faire monter en épingle une facture salée par quiconque aurait pu vouloir profiter de l’appareil à nos frais, je fais procéder à la désactivation du cell. Aujourd’hui, un aimable employé d’un des deux commerces téléphone à la maison pour nous dire que le cellulaire a été retrouvé… mais complètement écrapouti par une voiture (De quoi faire la Une de certains journaux!), car il avait dû tomber dans le stationnement avant qu’un véhicule ne lui passe sur le corps, le rendant définitivement aphone pour le reste de l’éternité… Voilà pourquoi la sonnerie ne pouvait se faire entendre DANS le commerce pendant que les employés cherchaient en vain.

Le seul hic, c’est que j’avais acheté ce téléphone récemment et qu’il n’est pas éligible à un remplacement gratuit à cause de sa vétusté. Je devrai donc acheter un téléphone plein prix (ce qui signifie, pour une qualité à peu près équivalente, environ 250 à 350 $ : OUCH!) Ou bien, j’annule mon forfait qui n’en est qu’au quart de sa durée (9 mois sur 36) et je recommence toutes les maudites négociations interminables pour un nouveau forfait, chose qui ne me tente guère, vous le savez de par ce billet

À suivre…

Perte de valeur…

Rassurez-vous je n’ai rien perdu.

Mais Fernando Alonso a perdu beaucoup de mon estime en fin de semaine quand il s’est enfoncé d’une très grosse marche vers les tréfonds de la vengeance et de la mauvaise compétition. En retardant Lewis Hamilton aux puits pour l’empêcher de faire un dernier tour de qualif, il a embarqué un très gros pas de plus dans la voie stérile de la vengeance imbécile, dictée uniquement par un ego trop gros, voire trop enflé ! Dommage !

Mais n’allons pas croire que Lewis Hamilton soit exempt de tout blâme, lui qui avait jusqu’ici un parcours absolument parfait en terme d’attitude et presque parfait en terme de résultats (Il accumule les podiums comme on n’a jamais vu auparavant, pour une recrue). Lewis, en fin de semaine, a refusé de respecter l’alternance chez MacLaren-Mercedes qui veut donner chances égales à ses deux poulains. C’est de ce départ pris «de force» par Lewis Hamilton devant Fernando Alonso que ce dernier a voulu se venger, mais d’une façon absolument anti-sportive, complétement indigne d’un champion.

Décidément, la Formule 1, comme bien des milieux où on favorise la compétition (excessive ou non — sportive ou non), comporte son lot de comportements crapuleux qui visent à écarter de très bons éléments.

Heureusement, dans le cas de la F1, la FIA a pénalisé Alonso avec justesse : pénalité qui lui a coûté cher dans la course au championnat. Mais pénaliser aussi l’écurie était inconvenant à mon humble avis : ça n’a rien à voir.

L'air pur par les fenêtres ?

Peut-être… mais les bruits indésirables aussi.

Couché tard hier soir (ou ce matin assez tôt), générale avant concert oblige, quelle ne fut pas ma (très désagréable!) surprise de me faire réveiller ce matin par un contremaître archi-colon ! GRRR!

«Commence à ramasser le bois à terre, là!»
«Aïe! Faudrait què’qu’un icitte!»
‹ etc. ›

«Hey, man! T’es pas dans l’bois icitte !»

Le 2e voisin, sur la rue d’en arrière, faisait refaire sa toiture ce matin… très tôt ce matin : 6h30. Non mais pouvez-vous gueuler plus fort, svp ! Y’a des gens qui veulent dormir ici… (Fermons la fenêtre et rageons un moment ! Ça empêche bien de dormir, ça aussi…)

Puis, ce fut, vers 7h00 à peine, le concert des «guns à clous», ou plutôt des mitraillettes : jamais vu ou entendu un modèle d’une pareille rapidité. On eût dit des pétards en série, ou carrément un feu d’artifice. Quoique, pour ce dernier, on fait plutôt pétarader ça le soir : mauvais exemple 😉

J’essaie de m’informer du nom de l’entrepreneur et je l’appelle quand j’aurai un peu de temps (Oups ! Ça veut dire probablement jamais, ça.)

Silence commandité ?

Voilà, ça vient de tomber, Jean Alzheimer* Lafleur vient de retrouver la mémoire : il plaide coupable à 28 des 35 chefs d’accusation de fraude, pour une somme dépassant les 1,5 million de dollars.

Ainsi, on n’aura pas droit à un témoignage en bonne et due forme, témoignage qui n’aurait pu être aussi “gruyère” que celui de la Commission Gomery où c’était possible (et légal) d’avoir plein de trous… de mémoire ! Plusieurs persones se seraient peut-être (sûrement) retrouvées ainsi dans un embarras certain.

Ainsi, Jean Lafleur achète-t-il peut-être ainsi la paix avec son portefeuille sûrement encore très garni (On n’a retenu que les accusations pour lesquelles on avait une preuve béton ! – Imaginez les sommes restantes pour lesquelles on ne saura jamais rien…)

Ainsi, également, a-t-on peut-être “acheté” le silence de Jean Lafleur en lui “suggérant” de plaider coupable à ces accusations pour avoir le silence total sur tout le reste du dossier… De là à parler de silence commandité, il n’y a qu’un pas que je ne peux pas franchir… sous peine de me faire accuser de diffamation !… et aussi faute de véritable preuve, bien sûr !

*Note : je ne veux en aucun cas porter préjudice aux gens souffrant VÉRITABLEMENT de cette terrible maladie.

Toponymie accusée ?

Les gens de Québec en ont parlé longuement en 2004, 2005 et 2006. Depuis que les nouveaux noms de rues ont été mis en vigueur, on en entend moins parler… jusqu’à cette semaine.

Lors d’un incendie particulièrement violent (voir aussi ici), un garçon de 10 ans est décédé. Les pompiers avaient demandé à Hydro-Québec de couper le courant, mais il paraît que la procédure a pris plus de temps que prévu, retardant d’autant l’opération de sauvetage qui, rappelons-le, doit se faire avec un minimum de sécurité si on ne veut pas avoir des sauveteurs victimes avant même qu’elles aient pu sauver quelqu’un…

Il semblerait, selon les informations, que le nom des rues n’ait pas été mis à jour partout chez Hydro-Québec… On va attendre d’en savoir plus avant de conclure, mais avouons que la situation est pour le moins intrigante. De plus, on affirme aujourd’hui, dans un article de journal, que les factures d’Hydro, elles, parviennent bel et bien sous le nouveau nom en vigueur aux clients de cette rue.

Nonobstant ces affirmations, le questionnement s’impose : et si c’était vrai !
On peut certes spéculer ad nauseam, mais la sagesse nous conseille d’attendre un peu avant de crier au scandale. Mais si jamais une vie humaine n’a pu être sauvée à cause d’une erreur dans une base de données quelconque, la grogne risque de s’amplifier dans la population à propos de toute cette opération de prétendue harmonisation de noms de rues qui a coûté une fortune (pensons juste à tous les gens impliqués pendant des années pour arriver à cela…)

Un dossier à suivre, donc, qui demeure à tout le moins préoccupant…